Sa teneur en vitamine B influe sur le fonctionnement du système nerveux, la concentration, la mémoire et le raisonnement. La vitamine B3, en agissant comme une coenzyme, facilite les processus métaboliques liés à la production et à l’utilisation de l’énergie dans le corps.
Son action protectrice sur la peau compte parmi les propriétés médicinales du shimeji. Par conséquent, il est utilisé dans l’industrie cosmétique pour la restructuration de l’épiderme.
Conseils pour bien choisir un shimeji
Ce champignon est généralement disponible dans les commerces spécialisés asiatiques. Toutefois, vous pouvez vous en procurer dans des magasins bio et dans certaines grandes surfaces.
Un spécimen de bonne qualité est caractérisé par un pied bien blanc. Son chapeau peut être blanc ou brun. Lors de l’achat, assurez-vous qu’il soit bien ferme, sans signes de dessèchement ni de tache.
Préparation et consommation de shimeji
Le shimeji japonais est renommé pour sa saveur qui s’imprègne à celle du plat lors de la cuisson.
Préparation
Avant de les laver, les champignons doivent être coupés à la base.
Quand il est consommé cru, il a un goût amer et est difficile à digérer. Cette amertume disparaît après cuisson. Cependant, il est recommandé de ne pas cuire ces aliments trop longtemps afin de préserver au maximum la vitamine B. Ainsi, cet élément hydrosoluble se retrouvera dans l’eau de cuisson. Il en est de même pour le potassium. De même, pour garder son côté croquant et faciliter sa digestion, ce mode de préparation est préconisé.
Une fois cuit, le shimeji présente une texture ferme, légèrement croustillante et libère un goût de noix.
Saisis au wok, les champignons gardent leur consistance et leurs bienfaits nutritionnels sont préservés.
Si vous préférez une cuisson prolongée, privilégiez le bouillon. De cette manière, le shimeji conserve toutes ses propriétés nutritionnelles. Cet incontournable de la cuisine asiatique se retrouve dans diverses associations alimentaires.