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Orgue d’église

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Caractéristiques de l’orgue d’église

  • Classification : instrument à vent ; instrument à clavier
  • Pays d’origine : Grèce
  • Matériaux : bois, métal, verre, PVC
  • Tessiture : 5 à 6 octaves, en fonction de la longueur des tuyaux
  • Genre de musique : classique, religieuse, contemporaine et jazz
  • Musiciens célèbres : Olivier Messiaen (1908-1992), Johann Sebastian Bach (1685-1750)
  • Chanson emblématique : « Toccata and Fugue in D Minor » de Johann Sebastian Bach, sortie entre 1703 et 1707

Tout savoir sur l’orgue d’église : ses caractéristiques, son historique, sa place dans la culture, son fonctionnement, son entretien, son apprentissage et ses critères d’achat

Un orgue d’église se distingue en tant qu’instrument à vent et à clavier produisant une variété de sons à travers des ensembles de tuyaux. Ces derniers sont accordés selon une gamme déterminée. Son jeu s’effectue au moyen d’un ou de plusieurs claviers, souvent accompagnés d’un pédalier. La diversité des formes, des matières et des tailles des tuyaux influence directement le timbre et la hauteur des notes émises.

Description de l’orgue d’église

L’orgue d’église, également désigné orgue liturgique ou à tuyaux, se présente comme un instrument de musique imposant à vent. Il est principalement associé à la musique classique, religieuse ou baroque. Cependant, il étend son influence à d’autres genres musicaux, tel que le Jazz spatial, démontrant ainsi sa versatilité artistique. Le son qui en émane provient d’un ensemble de tuyaux sonores alimentés par une soufflerie. Ces types d’orgue, ou ceux qui sont amplifiés se démarquent par leur son soutenu, multitimbral, puissant et riche.

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Étymologie du mot « orgue »

Du point de vue étymologique, le mot « orgue » trouve ses racines dans le grec organon ou organum en latin, signifiant instrument, en référence à son système mécanique complexe. L’appellation « orgue d’église » ou « orgue liturgique » découle de son association historique avec l’Église depuis le Moyen Âge.

Caractéristiques

L’orgue se distingue par sa taille imposante et sa capacité à prolonger le son aussi longtemps que la touche reste enfoncée. Il s’agit d’ailleurs de sa principale différence par rapport au piano ou au clavecin. Sa puissance et la multiplicité de ses timbres lui valent le titre de « roi des instruments ». Composé de nombreux tuyaux groupés en jeux, il résonne sous la pression d’air fourni par une soufflerie. Ces tubes, disposés sur un sommier en façade ou derrière le buffet, sont contrôlés par la console équipée de claviers, de tirants de registres et d’un ou de plusieurs pédaliers. Le tout fonctionne grâce à un mécanisme de transmission.

Typologie des orgues liturgiques

Les orgues liturgiques peuvent être classées selon divers critères.

Constitution

Les modèles varient en nombre de claviers, pouvant aller de 1 à 7. Certains possèdent des pédaliers, offrant une diversité de configurations.

Mobilité

Les orgues se divisent en versions mobiles, caractérisées par leur taille compacte, et en modèles fixes, plus imposants.

Transmission

L’évolution a engendré différentes transmissions, notamment les versions mécaniques, pneumatiques, électropneumatiques, électromagnétiques et autres.

Fonction

Selon leur usage, on distingue les orgues principaux installés dans la tribune et les modèles dits « de chœur ». Ces derniers sont plus petits et mobiles. Ils sont destinés à accompagner l’assemblée lors des cérémonies religieuses.

Ces orgues particuliers acquièrent leur renommée grâce à leur rôle central dans l’église et leur contribution à l’animation dans les cultes religieux.

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Origines et histoire de l’orgue d’église

Avant l’avènement de l’orgue, on se limitait au souffle humain et au roseau. C’était le cas avec la flûte et les instruments anciens tels que la magudi indienne et l’aulos grec, précurseurs de la clarinette. Ces derniers préfigurèrent les deux grandes catégories de jeux, à savoir les flûtes, ou jeux « à bouche », et les anches.

La création de l’air sous pression

L’origine de l’orgue remonte à environ 300 ans avant notre ère, lorsque Ctésibios d’Alexandrie, ingénieur grec, a conçu la première machine à compression. L’objectif était de remplacer le souffle humain. Ainsi est née l’hydraule, ou orgue hydraulique, de petite taille au départ. Cette invention a rencontré un succès fulgurant, puis a évolué considérablement pour devenir un instrument imposant.

L’orgue liturgique portatif à soufflet dans les jeux de cirque

L’orgue connaît une expansion significative en Grèce et dans la Rome antique, devenant un élément majeur des fêtes païennes et des jeux de cirque. Il est dorénavant doté d’une quinzaine de « tuyaux » en roseau de différentes longueurs et d’un système de tirettes en bois pour produire la note. Cette version portative préfigure le futur clavier.

Vers le VIIIe siècle, une soufflerie activée par le musicien lui-même remplace l’hydraule encombrante. L’instrument devient ainsi entièrement à vent, éliminant le besoin d’eau pour son fonctionnement. Autour de l’an 750, à l’époque grégorienne, il se répand en Occident dans les abbayes, les églises et les cathédrales, introduisant un clavier à la place des tirettes.

L’invention du clavier

L’orgue se distingue comme le premier instrument à clavier de l’histoire. Au début, ce composant était doté de petites lames de bois coulissantes. Il nécessitait une action manuelle pour produire ou arrêter la note. L’idée d’utiliser des ressorts de rappel, en roseau ou en métal, est également attribuée à Ctésibios. Ce n’est qu’au XIIIe siècle que l’abrégé et le clavier à touches font leur apparition. Par la suite, il a progressivement évolué vers le clavier moderne actuel, couvrant de 2 à 5 octaves, voire plus. Actuellement, cet élément comprend 61 notes. Les modèles les plus avancés peuvent comporter jusqu’à cinq claviers.

Les innovations : orgue positif, grand orgue et grandes orgues

Les tubes, de formes et de dimensions variées, sont organisés en jeux, avec des innovations telles que le « grand orgue » installé au fond de l’église. Le « petit orgue » de chœur devient le « positif », et est positionné au bord de la tribune. L’invention des « accouplements » permet de jouer simultanément sur les deux orgues avec un seul clavier. Cette technique spécifique a ainsi donné naissance aux « grandes orgues ». Aujourd’hui, un orgue d’église peut compter entre 1 000 et 30 000 tuyaux.

L’invention du pédalier d’orgue à tuyaux

Au XIVe siècle, le pédalier a vu le jour. Il s’agit d’un véritable clavier permettant à l’organiste de jouer des parties musicales dans les registres graves avec les pieds. Actuellement, cet élément majeur comporte 32 notes, une caractéristique en place depuis environ un siècle. L’orgue liturgique a ainsi conquis une place de plus en plus prestigieuse au fil des siècles. Évoluant constamment, il a su s’imposer comme l’instrument roi des églises et des cathédrales.

La création du buffet

Le buffet de l’orgue sert à la fois d’ornement, de protection pour les nombreux tuyaux intérieurs, de mécanisme de transmission et de sommier. Il joue également le rôle de « porte-voix » et de résonateur. Il est alors un élément essentiel de l’esthétique et de la fonctionnalité de l’instrument.

Orgue d’église dans la culture

L’orgue se révèle être un instrument prédestiné à la composition et à l’orchestration. Cette particularité est due à la richesse de ses jeux et de ses possibilités de registration. La présence d’un pédalier permettant de jouer une ligne supplémentaire constitue également un atout majeur. C’est une des raisons pour lesquelles de remarquables organistes se sont rapidement révélés être de grands compositeurs. Les noms prestigieux, tels que François Couperin ou Louis-Nicolas Clérambault, entre autres, sont intimement associés à la musique d’orgue. Grâce à ces artistes, l’histoire de cet instrument reste mondialement connue jusqu’à nos jours.

Répertoire de la musique d’orgue d’église

La musique de ce type d’orgue constitue un répertoire spécialement composé pour être uniquement interprété avec l’instrument. Il est important de noter que l’improvisation est une composante inhérente à la culture des organistes, en plus de la composition. Il s’agit d’ailleurs de deux arts très proches, ce qui explique pourquoi la plupart des compositeurs de musique d’orgue sont également des organistes. Les noms de Titelouze, Frescobaldi, Couperin, Lebègue, Buxtehude, Pachelbel, Grigny, Clérambault et Bach, entre autres, se trouvent en tête de liste.

Jean-Sébastien Bach à l’orgue

Jean-Sébastien Bach occupe une place à part dans l’histoire de l’orgue d’église. Maître incontesté de cet instrument, il prend en charge toute la musique de l’église après son mariage avec Maria Barbara en 1707. Expert formé par le facteur J. Balthazar Held, Bach s’implique non seulement dans la réparation, mais aussi dans la construction et l’expertise. En plus de jouer de manière exceptionnelle, il assimile la facture de l’instrument, contribuant tout au long de sa vie à son optimisation.

Virtuose largement reconnu, Bach exerce une influence majeure sur la fabrication d’orgue au XVIIIe siècle. Tout au long de sa carrière, il écrit d’innombrables compositions connues et reconnues, comprenant préludes, fantaisies, toccatas et fugues. On n’oublie pas non plus les concertos, les sonates, les chorals et les passacailles qui témoignent de son génie incontesté dans tous les domaines de la composition.

Fonctionnement de l’orgue d’église

L’orgue d’église se distingue par la complexité de sa machinerie. Bien que sa mécanique ait constamment évolué au fil des siècles, son principe de fonctionnement a conservé une certaine stabilité. Sous l’influence de la pression du vent provenant de la « gravure » du sommier, les tuyaux émettent un son, donnant ainsi une note musicale.

À l’activation des touches du clavier ou des registres, un phénomène précis se produit. L’air comprimé stocké dans un « réservoir » est acheminé de manière sélective à travers le système de transmission. Celui-ci passe également par le réseau de canaux pour se diriger vers les tuyaux sonores. Pour ce faire, divers dispositifs entrent en jeu.

  • Une soufflerie électrique ou une turbine compresse de l’air, qui est ensuite emmagasiné dans les « soufflets » ou « réservoirs ». 
  • Une tuyauterie, appelée canaux porte-vent, guide le vent vers les sommiers qui supportent les tuyaux. 
  • Les soupapes des sommiers sont actionnées par des « vergettes » et commandées à distance par le clavier et le pédalier. Elles orientent le vent vers les tubes correspondants par l’intermédiaire de la « gravure ». 

Les lattes perforées du « registre » jouent également un rôle majeur. En coulissant, elles permettent de sélectionner un jeu spécifique.

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Fabrication : comment c’est fait ?

Pour comprendre et expliquer le fonctionnement de l’orgue d’église, il est essentiel d’examiner de près les éléments qui composent son mécanisme. Derrière la façade imposante du buffet se cachent des composants cruciaux, dont le buffet lui-même. Celui-ci comporte également les tuyaux en « montre »,  jouent également un rôle majeur. En la console avec ses claviers, ses tirants et son pédalier. Un vaste arsenal de tuyaux reposant sur un sommier abritant un mécanisme complexe de transmission et une soufflerie est aussi présent.

La console

La console représente le poste central de commande de l’instrument, regroupant toutes les fonctions essentielles. Elle est équipée d’un ou de plusieurs claviers, du pédalier, des « tirants de registres », ainsi que de divers contrôles tels que les appels et les combinaisons. Des accouplements de claviers et des tirasses d’accouplement de claviers au pédalier sont aussi présents. La console peut également inclure une pédale d’expression et, bien sûr, le banc où s’assoit l’organiste, situé au-dessus du pédalier.

La soufflerie

La soufflerie a pour mission de comprimer l’air et de le stocker dans des réservoirs appelés soufflets. Ces derniers sont désormais alimentés par un compresseur électrique ou une turbine, remplaçant ainsi les souffleries d’antan actionnées par des pédales.

Le sommier

Le sommier joue un rôle indispensable dans le fonctionnement de l’orgue d’église. Il assure le support des tuyaux tout en gérant la distribution du vent. Présenté sous la forme d’une grande caisse étanche, cet élément constitue le « plancher » sur lequel reposent les jeux de tuyaux en rangées parallèles.

La transmission

Cette composante représente le système qui transmet l’action des touches ou des claviers aux soupapes du sommier. Bien que la transmission soit souvent mécanique, elle peut également être pneumatique, électromagnétique ou encore électropneumatique.

Comment en jouer ?

Jouer de l’orgue d’église requiert une technique musicale précise et une connaissance approfondie de l’instrument. L’organiste manipule les claviers et le pédalier de la console pour produire des sons variés à partir des ensembles de tuyaux accordés selon une gamme. Chaque pression des doigts et chaque mouvement des pieds déclenchent une série complexe de mécanismes. Les soupapes des sommiers s’ouvrent afin de permettre au vent de circuler à travers les tuyaux sélectionnés.

L’art de l’organiste réside dans la coordination habile des membres, le choix judicieux des jeux de tuyaux et l’utilisation subtile des registres. Le toucher délicat sur les claviers, l’interaction avec les tirants pour ajuster les sonorités et la maîtrise du pédalier pour enrichir les basses sont indispensables. Tout cela contribue à créer une expérience musicale riche et nuancée. L’orgue d’église, avec son potentiel expressif et sa capacité à remplir l’espace sacré, devient ainsi un véhicule puissant pour transmettre des émotions et des spiritualités.

Qu’en est-il de sa notation musicale ? 

La notation musicale pour cet instrument a évolué au fil des siècles. Au XIVe et au XVe siècle, elle était initialement consignée en tablature. Dès le XVIe siècle, en revanche, elle s’est alignée sur la notation générale de la musique, avec deux portées. Cette pratique a été perfectionnée à l’époque de l’école de Bach, où elle s’est étendue à trois portées. Les deux portées supérieures, regroupées par une accolade, étaient dédiées aux claviers manuels, tandis que la troisième, positionnée en dessous, comportait la partie du pédalier.

Lorsqu’un compositeur ne traitait pas la partie du pédalier de manière indépendante, la notation se faisait alors sur deux portées. Il se contentait d’un renforcement des basses des claviers manuels et signalait les notes à doubler en spécifiant « pédale » ou en utilisant l’abréviation « ped. ». Cette approche était également adoptée quand cela n’entravait pas la lisibilité de la partition.

Depuis les débuts de la musique d’orgue, l’adaptation des mélodies a constitué la base des musiques destinées au service du culte. Les premiers recueils connus renferment des pièces élaborées sur des thèmes liturgiques. Plus tard, ils ont évolué vers des motets vocaux et des compositions basées sur des airs de chansons.

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Entretien de l’orgue d’église

L’entretien de cet instrument revêt une importance cruciale en raison de sa nature organique et de sa sensibilité à divers facteurs. Les altérations peuvent découler de plusieurs sources, notamment celles liées au climat.

Les changements climatiques, fréquents dans les églises, engendrent des variations d’humidité significatives entre les saisons, et même entre les jours de la semaine. Le bois, principal composant de l’orgue d’église, réagit sensiblement à ces fluctuations. L’excès d’humidité entraîne le gonflement de ce matériau naturel, tandis qu’une atmosphère trop sèche provoque sa rétractation. Une telle situation crée des fissures et des éclatements, préjudiciables au bon fonctionnement de l’instrument. Les tuyaux métalliques, bien que moins sensibles, peuvent subir une corrosion due à l’humidité excessive. Leur interaction avec le bois conduit le plus souvent à l’altération des éléments en plomb et à des problèmes plus graves tels que la « lèpre de l’étain ».

Les variations brusques du climat peuvent également impacter l’harmonie de l’orgue en provoquant des désaccords. Pour atténuer ces dégradations, le choix d’un système de chauffage adéquat est crucial. Les versions à air pulsé ou à panneaux radiants, bien que rapides, génèrent des fluctuations climatiques brutales. Privilégier des mécanismes progressifs, comme le chauffage au sol ou électrique, est donc essentiel.

En ce qui concerne les altérations biologiques, le bois est vulnérable aux attaques d’insectes xylophages et de moisissures. Le maintien d’un taux d’humidité inférieur à 70 % et une bonne ventilation de l’édifice constituent des mesures préventives contre le développement de microorganismes.

Apprentissage de l’orgue d’église

Acquérir la maîtrise de l’orgue nécessite une solide base en solfège et une préférence pour ceux ayant déjà atteint un niveau avancé au piano. Les pianistes, habitués au clavier, possèdent une expérience musicale étendue, leur permettant d’aborder facilement divers répertoires.

Pour maîtriser cet instrument complexe qu’est l’orgue d’église, il est impératif de suivre des cours. Dans l’idéal, une école de musique ou, mieux encore, un apprentissage au conservatoire est recommandé. Recourir à un professeur particulier spécialisé, un élève de niveau avancé en conservatoire ou un maître reconnu représente aussi des alternatives judicieuses.

Bien que des leçons en ligne puissent servir de base, elles ne peuvent pas se substituer à un enseignement structuré. L’initiation à l’orgue est plus exigeante que celle du piano en raison de la troisième ligne au pédalier. Cela demande une coordination complexe entre les mains et les pieds. La technique spécifique du jeu au pédalier, incluant le positionnement des talons et des genoux ainsi que l’apprentissage du « pointe-talon », nécessite l’assistance d’un professeur expérimenté.

La maîtrise du clavier exige une méthode doigtée particulière, excluant le recours aux versions électroniques ou numériques. Le choix des jeux, l’utilisation des tirants de registres ainsi que les sélections et accouplements sont autant de défis qui requièrent le recours à un enseignant.

Achat et choix d’un orgue d’église

De nos jours, les orgues d’église intègrent une technologie numérique capable de reproduire fidèlement le son authentique de leurs homologues à tuyaux.

Les performances offertes par ces instruments, destinés aux paroisses et aux particuliers, sont en constante évolution. Ils rivalisent avec la grandeur sonore des orgues de cathédrale. Cependant, pour être certain de faire le bon choix, plusieurs critères doivent être pris en considération. Les principaux éléments à évaluer incluent :

La sonorité et la qualité des jeux

L’un des atouts majeurs d’un orgue de ce type, mais numérique, réside dans sa capacité à reproduire fidèlement le son d’un authentique modèle à tuyaux. La qualité sonore demeure donc un critère essentiel à examiner. Les possibilités de jeu supplémentaires sont également à prendre en compte, telles que le nombre et la variété de voix, de registres, de tempéraments, etc.

Le nombre de claviers

Le nombre de claviers peut varier considérablement selon le modèle, allant de 1 à 7. Généralement, des orgues équipés de 1 à 3 claviers sont proposés sur le marché. Le nombre idéal est à déterminer en fonction des besoins. Le pédalier, l’élément permettant de jouer avec les pieds, figure aussi dans la liste des critères à ne surtout pas négliger.

La mobilité de l’instrument

Dans le cas de déplacements fréquents ou lorsque l’espace destiné à l’accueillir est restreint, un modèle compact et portable est indiqué. Le poids et les dimensions de l’orgue sont aussi des critères de choix importants. En revanche, pour un emplacement fixe, l’acquisition d’une version de type meuble, plus imposante et plus coûteuse, mais moins mobile est envisageable.

Pour trouver le modèle adapté, France Minéraux constitue l’adresse incontournable. Avec le vaste panel de modèles de qualité présentés sur le site, chaque profil d’organiste trouvera certainement l’orgue d’église répondant à ses besoins.

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