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Kalimba

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Caractéristiques du kalimba

  • Classification : instrument de percussion
  • Pays d’origine : Afrique subsaharienne
  • Matériaux : bois (support), métal (lamelles), acrylique (support version moderne)
  • Tessiture : 17 à 21 notes
  • Genre de musique : musique traditionnelle et moderne
  • Musiciens célèbres : Maurice White (1941-2016), Steve Hackett (1950- ), Bobby McFerrin (1950- ), Stella Chiweshe (1946-2023)
  • Chanson emblématique : « Evil » de Earth, Wind and Fire (1973), « Kalimba Suite » de Bobby Mc Ferrin (2002)

Tout savoir sur le kalimba : ses caractéristiques, son historique, sa place dans l’histoire de la musique, son fonctionnement, son apprentissage, son entretien et son achat

Le kalimba, également connu sous le nom de mbira ou « piano à pouces », est un instrument de musique d’origine africaine. Il appartient à la famille des lamellophones, ce qui signifie que sa sonorité est produite par des lamelles métalliques fixées sur une planche de bois ou une caisse de résonance. Cet outil musical est traditionnellement utilisé dans diverses cultures africaines, mais est maintenant apprécié dans de nombreux genres musicaux.

L’UNESCO a inscrit en décembre 2020 l’art de concevoir et de jouer de la mbira (ou sanza), instrument traditionnel au Zimbabwe et au Malawi, sur la liste du patrimoine culturel immatériel de l’humanité.

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Description du kalimba

Le kalimba est un instrument de musique de petite taille et facilement transportable. Il appartient aux idiophones, plus spécifiquement, il est classé comme un lamellophone, partageant des similitudes avec le xylophone. Son principal élément structurel est un support en bois, souvent en forme de prisme ou de boîte, sur lequel sont solidement fixées des lamelles métalliques de formes et de tailles variées.

Ces lames, généralement en acier ou en aluminium, sont positionnées de manière à créer une échelle musicale. Chacune produit une note distincte lorsqu’elle est jouée en la pinçant ou en la frappant avec les pouces. La disposition spécifique de ces lamelles est soigneusement conçue pour permettre la création de mélodies harmonieuses.

Le corps du kalimba est souvent creux, faisant office de caisse de résonance. Cette cavité amplifie le son produit par les bandes métalliques, ajoutant de la richesse et de la chaleur à la sonorité de l’instrument. Certains modèles peuvent également être équipés de résonateurs en bois ou en métal pour améliorer la projection sonore.

Origine et histoire du kalimba

L’histoire du kalimba remonte à plusieurs millénaires en Afrique, où différents types d’idiophones et de lamellophones étaient présents.

Évolution historique du kalimba en Afrique

Le kalimba a été inventé deux fois en Afrique. La première occurrence remonte à environ 3 000 ans sur la côte ouest, au Cameroun. Cet outil musical, appelé mbira à l’époque, était constitué d’un corps en bois et de touches en bambou. Cependant, ce modèle était fragile et difficile à conserver en raison de sa composition végétale. Par conséquent, il semble avoir disparu au fil du temps.

La deuxième naissance du kalimba survient environ 1 300 ans plus tard, dans la vallée du Zambèze, avec l’usage de lamelles métalliques à la place du bambou. Cette version était traditionnellement utilisée lors d’occasions festives et religieuses.

Des prototypes ont ensuite voyagé à travers l’Afrique, devenant particulièrement populaire parmi les Shonas au Zimbabwe et d’autres groupes ethniques du pays et du Mozambique.

Au fil de son expansion géographique, le mbira a évolué tant physiquement que dans ses usages sociaux. Bien que des instruments de type kalimba soient présents dans diverses régions d’Afrique, beaucoup d’ethnies les ont ignorés dans leur instrumentarium.

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Expansion dans le monde occidental

L’introduction de cet appareil musical en dehors de l’Afrique s’est produite au XVIe siècle avec l’arrivée des premiers colons portugais au Mozambique. Les premières traces écrites sont attribuées au missionnaire portugais João dos Santos.

Au milieu des années cinquante, l’ethnomusicologue anglais Hugh Tracey, après un séjour en Afrique où il s’est passionné pour le mbira, a développé le kalimba actuel, une version occidentalisée de l’outil musical. Il a créé un modèle de 15 lames avec une caisse de résonance, puis a fondé sa propre société en 1954 appelée AMI (African Musical Instrument). Cette nouvelle variété a contribué à l’expansion de cet instrument traditionnel africain en dehors de son continent d’origine. Ainsi, il est devenu un appareil musical apprécié à l’échelle mondiale, non seulement pour sa sonorité unique, mais aussi pour sa facilité d’apprentissage.

Nomenclature du kalimba

Le kalimba est désigné par de nombreux noms variant selon les régions et les ethnies, notamment en République démocratique du Congo. Il y est connu sous les appellations likembe, mbila, mbira njari, mbira huru, nhare, okeme, ubo, lukeme, matepe, njari, sanza, gyilgo, mbira nyunga, sansu, karimbao, zanzu, marimba, et karimba.

Avec le temps, la plupart des gens ont fini par considérer le terme « kalimba » comme se référant au modèle européen de l’instrument popularisé par Hugh Tracey. Les autres noms, quant à eux, désignent généralement les versions traditionnelles fabriquées en Afrique selon des méthodes anciennes. Les colons européens l’ont également appelé « piano à doigts ». Il présente également des similitudes avec la marimbula des Caraïbes.

Place du kalimba dans la culture musicale

Bien que le kalimba ne soit pas un outil musical commun, il occupe une place singulière dans le monde musical. Certains professionnels de la musique l’ont intégré dans leurs compositions, apportant une sonorité distinctive à leurs œuvres.

Maurice White, le chanteur et leader du groupe funk Earth, Wind and Fire l’a notamment popularisé, avec le titre « Evil » de l’album Head to the Sky, sorti en 1973.

Phil Collins, le célèbre musicien et chanteur britannique, l’a intégré dans sa chanson « Long way to go » de l’album No jacket required, sorti en mai 1985. Cette collaboration musicale inclut la participation de Sting, un autre musicien britannique bien connu.

De même, Steve Hackett, le guitariste de Genesis, a utilisé cet instrument dans l’album Wind and wuthering (1976).

Bobby McFerrin, connu pour son approche vocale novatrice, l’a incorporé dans sa mélodie intitulée « Kalimba suite », présente dans l’album Beyond words sorti en 2002.

Stella Chiweshe, musicienne zimbabwéenne, est reconnue pour sa maîtrise du mbira, parfois accompagné de chant. Des talents émergents tels qu’Herbert Kinobe, originaire de l’Ouganda, ont également contribué à l’influence croissante de cet instrument.

Le duo She Owl, originaire d’Italie, intègre parfois le piano à pouces dans ses chansons, soulignant ainsi la diversité de son usage à travers le monde musical contemporain.

Fonctionnement du kalimba

En raison du volume sonore assez faible du kalimba, il est souvent destiné à des événements restreints, et est utilisé comme élément d’accompagnement au chant. Portable, facile d’utilisation et abordable, cet outil musical a transcendé les frontières de la musique traditionnelle africaine pour être produit à grande échelle, notamment en Chine, afin de répondre à la demande d’un public occidental. Ce dernier, en particulier, perçoit les tonalités douces de l’instrument comme favorables à l’éveil musical et sonore des enfants.

Fabrication du kalimba

La caisse de résonance du kalimba peut être dotée d’une rosace, soit au centre de la table d’harmonie, soit au dos. Cette disposition spécifique lui permet d’être obstruée par les doigts et de produire un effet « wah-wah », c’est-à-dire qui fasse osciller le son. De même, il est possible qu’elle soit amplifiée par une seconde caisse, cette dernière étant souvent fabriquée à partir d’une moitié de noix de coco ou d’une calebasse. Des capsules de bouteilles peuvent aussi être ajoutées pour accentuer le vibrato métallique.

Les modèles industriels, majoritairement accordés en do ou fa majeur, offrent désormais une variété de partitions et de tablatures spécialement dédiées, permettant ainsi d’interpréter des mélodies populaires. En outre, le choix des matériaux utilisés pour la fabrication de la table d’harmonie, ainsi que la présence ou non d’une caisse de résonance, influence considérablement les tonalités de l’outil musical.

Manipulation du kalimba

Pour jouer du kalimba, il faut le tenir entre les mains, appuyer sur les lamelles avec les pouces puis les relâcher. Cette manœuvre provoque une vibration. À la différence des instruments à cordes ou à vent, la note produite par une lamelle est inharmonique, conférant à l’outil musical un timbre distinctif.

La disposition des bandes sur la plupart des kalimbas suit une alternance droite-gauche, descendant du centre vers l’extérieur. Lorsqu’une lamelle est pincée ou frottée, les lames adjacentes vibrent également, créant des harmoniques groupées.

Toutes les lames sont maintenues sous pression entre les deux chevalets. Lorsqu’une touche est appuyée et relâchée brusquement, celle-ci entre en vibration, oscillant du haut vers le bas. La tonalité du son émis dépend principalement de la longueur des lamelles, les plus longues produisant des sons plus graves, et les plus courtes des notes plus aiguës. Les vibrations se propagent également à travers la table d’harmonie de l’appareil.

Notation musicale du kalimba

La notation musicale du kalimba propose quatre types de partitions spécifiques. Lorsqu’elles sont destinées aux débutants, elles peuvent comporter soit des lettres, soit des chiffres. Les plus avancées intègrent des chiffres avec quelques notions de solfège, ajoutant une complexité supplémentaire. En revanche, les tablatures, bien que plus complexes, offrent une plus grande précision, en faisant appel au solfège de manière plus poussée.

Partition à chiffres ou à lettres

Les partitions avec des chiffres suivent un modèle de notation musicale en chiffres arabes (NMCA), où chaque chiffre correspond à une note de musique. D’après le système de conversion NMCA-solfège, chaque chiffre correspond à une note du solfège : 1 = do ; 2 = ré ; 3 = mi ; 4 = fa ; 5 = sol ; 6 = la et 7 = si.

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Les partitions avec des lettres fonctionnent de manière similaire, avec chaque lettre représentant une note de musique. Ce type de notation musicale se sert du système batave dans le monde anglo-saxon pour la représentation des notes. Ainsi, selon celle-ci, les lettres C, D, E, F, G, A, B correspondent respectivement à do, , mi, fa, sol, la et si.

Partition avancée

Les partitions avancées du kalimba se lisent de gauche à droite et de haut en bas, avec des chiffres s’accordant à la notation en chiffres arabes des notes de musique. Une particularité importante par rapport aux partitions simples est que les deux lignes de chiffres dans l’accolade doivent être jouées simultanément. Les traits verticaux indiquent le début et/ou la fin d’une mesure, tandis que les traits horizontaux à côté des chiffres indiquent la durée de chaque note.

Tablature

La tablature pour kalimba, inventée en 2003 par le musicien Mark Holdaway, est un hybride entre une partition de musique classique et celle en lettre ou chiffre. Chaque couloir vertical représente une touche de l’instrument, avec les notes correspondantes en notation batave en bas de la partition. Les chiffres à droite indiquent la mesure. Le tempo (nombre de battements par minute) est noté en bas à gauche de la tablature.

Apprentissage du kalimba

L’apprentissage du kalimba est accessible au plus grand nombre grâce à ses caractéristiques simples. Chaque lame correspond à une note de musique, suivant le principe similaire à celui d’un piano droit classique. De plus, il est souvent accompagné d’accessoires facilitant l’expérience. Des planches d’autocollants fournies aident à se repérer dans le jeu de lames, tandis que les livrets d’instructions et de partitions sont des ressources précieuses pour commencer dans des conditions optimales.

Pour les débutants qui n’ont jamais exploré le monde des pianos à pouces, il est recommandé d’éviter les variétés dépassant 21 lames, car elles peuvent être extrêmement complexes à maîtriser. Cependant, il reste possible de les aborder ultérieurement si l’envie d’approfondir ses compétences se fait ressentir. De même, à moins d’avoir une raison spécifique, il est conseillé de ne pas opter pour un kalimba de moins de 15 touches, car ces modèles offrent un potentiel musical assez limité, convenant davantage aux enfants.

Ainsi, il est conseillé de choisir un instrument dont le nombre de touches varie entre 15 et 21, en fonction de son niveau musical. Pour ceux sans connaissance particulière en musique ou en solfège, une version à 15 ou 17 lames est préconisée, tandis que ceux ayant déjà une expérience musicale peuvent se tourner vers des modèles comportant 17 ou 21 lamelles.

Réglages et entretien du kalimba

Le kalimba nécessite un entretien régulier pour prévenir d’éventuels problèmes. Le manque d’entretien peut conduire à des fissures dans le bois de l’instrument ou à l’accumulation de poussière, provoquant ce que l’on appelle un « buzz » ou un bourdonnement des lames. Cet effet risque d’altérer le fonctionnement de l’appareil musical, voire de le rendre inefficace.

Entretien du kalimba

Utiliser un chiffon en microfibre doux pour éliminer la poussière. Étant donné que les sons du kalimba sont générés par la vibration des lames, la saleté peut s’insérer entre ces dernières au fil du temps. En cas de salissure importante, il peut être nécessaire de démonter les touches et de les nettoyer une par une avec de l’eau chaude savonneuse. Ensuite, veiller à bien les sécher avant de les remonter.

Pour maintenir l’éclat des lamelles et éliminer les traces de rouille, appliquer un bloc polissoir spécialement conçu pour le kalimba. Ce dernier agit comme une petite éponge abrasive.

Contrairement à l’acrylique, le bois nécessite un entretien minutieux et régulier. Il est fortement recommandé de le prévenir d’une exposition directe au soleil ainsi que de l’humidité. Aussi, stocker l’appareil dans un étui adapté. En outre, choisir une huile spécifique qui permette de maintenir ses propriétés acoustiques, de préserver sa brillance et de le nourrir.  

Réglages du kalimba

Un mauvais rendu sonore d’un kalimba peut être attribué à un désalignement des lames. Pour garantir une sonorité optimale, s’assurer que les lames soient parfaitement parallèles entre elles et, surtout, perpendiculaires aux chevalets sur lesquels elles reposent.

Des tonalités désagréables peuvent également résulter d’un accordage incorrect, mais ce problème peut être résolu en vérifiant l’accord à l’aide d’un dispositif électronique. Alternativement, l’accordage peut être effectué à l’aide d’un petit marteau en métal ou d’un dé à coudre.

Choix et achat du kalimba

Il existe diverses variétés de kalimba disponibles sur le marché : avec ou sans trou, en bois ou en acrylique, chromatique ou diatonique.

Kalimba avec ou sans trou

Le choix entre un modèle avec ou sans trou dépend des préférences individuelles et des besoins spécifiques de chacun.

Les versions sans trou, faites d’un seul bloc, sont plus solides, moins chères, et demandent un entretien minime. Elles sont également plus fines et plus légères. Ces modèles sont adaptés aux musiciens ayant des mains plus petites. Toutefois, l’absence de caisse de résonance limite le volume sonore de l’instrument.

En revanche, les kalimbas avec trous, dotés d’une caisse de résonance, sont plus coûteux. Ils sont sujets aux fissures dues à un poids plus important, et sont plus épais en main. Ces modèles offrent un volume sonore plus élevé, et permettent des effets sonores tels que le wah-wah ou le vibrato. Cependant, leur entretien est plus laborieux, car de la poussière peut s’accumuler à l’intérieur de la caisse de résonance.

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Kalimba en bois ou en acrylique

Le kalimba en bois, le matériau traditionnel, et celui en acrylique, un polymère plastique, présentent des distinctions à considérer.

Bien que les différences ne soient pas très prononcées, quelques nuances sonores existent entre ces deux matériaux. L’acrylique a tendance à produire des notes claires et chaudes, idéales pour des interprétations de berceuses. En termes de coût, celui-ci est aussi plus cher. En revanche, la version en bois offre des notes riches, adaptées à des mélodies dynamiques de la culture populaire.

Les kalimbas en acrylique sont généralement sans caisse de résonance, bien que certains en possèdent. Opter pour cette alternative signifie souvent renoncer aux avantages des variétés avec trous, tels que la possibilité de créer des effets sonores et d’avoir un volume sonore plus élevé. Même s’il est plus lourd, il est plus solide et plus résistant à l’humidité et aux ultraviolets. Aussi, il nécessite peu d’entretien. Cependant, il est plus sensible aux rayures, qui seront plus visibles que sur le bois.

Kalimba en noyer, en acajou, en érable ou en camphrier

Pour un kalimba en bois, la sélection de l’essence doit se faire soigneusement. Il existe en effet des différences notables entre un modèle en acajou et un autre en noyer noir. Ces variations sont importantes, car la nature du matériau influence les qualités et les performances de la caisse de résonance.

Ainsi, en général, la dureté et la nature du bois impactent les caractéristiques sonores du kalimba. Les plus durs favorisent le rebond des ondes sonores, tandis que les plus tendres ont tendance à les absorber. L’acajou fait partie de cette dernière catégorie. Il produit des sons agréables et riches, faisant de lui un choix populaire pour les débutants en raison de son coût abordable. L’érable, plus dur, offre un compromis idéal pour des notes claires et diffuses, adaptées à la méditation et aux activités zen.

L’essence du bois joue également un rôle esthétique, influant sur l’apparence visuelle de l’appareil. Des bois considérés comme nobles ou luxueux, tels que le noyer noir, traditionnellement utilisé dans la fabrication de meubles haut de gamme, sont choisis pour la fabrication de certains modèles. Cependant, cette matière plus prestigieuse peut augmenter considérablement le prix de l’instrument par rapport à celui en acajou.

Il est aussi possible que l’appareil musical soit fabriqué en camphrier. Ce type de bois émet une odeur d’eucalyptus pendant plusieurs années après sa coupe, offrant une agréable senteur à l’instrument.

Kalimba chromatique ou diatonique

Le choix entre chromatique et diatonique dépend des préférences du musicien en matière de complexité, de budget et d’options esthétiques.

Ces modèles de kalimbas se distinguent principalement par le nombre de notes qu’ils offrent. Les diatoniques comprennent les sept notes familières, tandis que les chromatiques ajoutent cinq notes altérées par des dièses ou des bémols. Cette différence confère à ce dernier l’avantage de faciliter l’interprétation de mélodies complexes sans nécessiter un changement fréquent d’accord.

Cependant, cette amélioration vient avec des compromis. Les kalimbas chromatiques sont généralement plus coûteux et complexes à fabriquer que leurs homologues diatoniques. Ils comportent aussi plus de touches, en moyenne 34, réparties sur deux rangées. Cette particularité les rend plus lourds, encombrants et difficiles à maîtriser pour les débutants. De plus, il est rare de trouver des pianos à pouces chromatiques avec caisse de résonance ou en verre acrylique, ce qui peut influencer la préférence des musiciens en quête de transparence ou d’effets sonores particuliers.

Achat du kalimba

France Minéraux propose une vaste sélection d’instruments, parmi lesquels des kalimbas de différents types, tailles et matériaux. La plateforme met en vente de nombreux produits, garantissant à chacun la possibilité de trouver l’instrument qui correspond à ses goûts et à ses besoins spécifiques.

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