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Accordéon

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Caractéristiques de l’accordéon

  • Classification : Instrument à vent
  • Pays d’origine : Autriche
  • Matériaux : bois (caisses et sommiers), peau et carton (soufflet), aluminium (sommiers et fixations), duralium (fixations) et plastique (touches)
  • Tessiture : deux octaves et demie à six octaves et demie selon les modèles
  • Genre de musique : traditionnelle, classique, folklorique, populaire, jazz et contemporaine
  • Musiciens célèbres : Yvette Horner (1922-2018), Régis Gizavo (1959-2017), Christelle De Franceschi (1969-), Marcel Azzola (1927-2019), George Shearing (1919-2011) et Buckwheat Zydeco (1947-2016)
  • Chanson emblématique : « Vesoul » de Jacques Brel, accompagné par l’accordéoniste Marcel Azzola, chanson sortie en 1968

Tout savoir sur l’accordéon : sa description, son historique, sa place dans la culture, son fonctionnement, son entretien, son apprentissage et quelques conseils pour en choisir

L’accordéon est un instrument de musique aussi bien complexe que fascinant. Il est connu sous différentes appellations comme : piano à bretelles, boîte à frisson, calculette prétentieuse et piano du pauvre. Cet instrument s’adresse aux musiciens débutants disposant de bases solides en solfège. Une bonne méthodologie aide également à le maîtriser rapidement.

Description de l’accordéon

L’accordéon est un instrument de musique à vent appartenant à la famille des bois. En France, il porte plusieurs surnoms, dont : orgue portatif, boîte à chagrin, branle-poumons, boîte du diable et soufflet à punaises.

Un bref descriptif de cet instrument à vent

La registration de cet instrument portatif à soufflet et à touches (sous forme de boutons) est voisine de celle de l’orgue. Le nom « accordéon » regroupe des instruments à clavier et polyphoniques utilisant des anches libres. L’harmonica et l’harmonium font partie de ses cousins proches.

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Il est possible de recenser plusieurs types de cet instrument de musique, dont :

  • le chromatique ;
  • le diatonique ;
  • le concertina ;
  • le bandonéon.

Les accordéons sont facilement transportables. Ils deviennent ainsi le symbole de l’émigration et s’intègrent dans différentes sortes de danses populaires comme la java, la valse, le tango et la mazurka.

L’organisation des boutons

Les caisses placées sur les côtés de cet instrument à vent sont composées de plusieurs rangées.

Les boutons situés à la partie droite de l’accordéoniste

Cette partie de l’accordéon accueille entre trois et cinq rangées de boutons. Des modèles rares en comportent six. Les trois premières sont uniques, tandis que le reste vient répéter celles-ci dans le but de faciliter l’enchaînement des notes. Par exemple, la 2de et la 5ᵉ rangée produisent des sons identiques.

Les diagonales sont espacées d’un demi-ton. Ainsi, la première diagonale est composée de do, do# et . Une fois arrivé à la troisième rangée, l’accordéoniste revient à la première, mais passe à la ligne en dessous, pour continuer avec les notes ré#, mi et fa, et ainsi de suite. Il est bon de noter qu’il a la possibilité d’appuyer sur plusieurs boutons simultanément afin qu’il puisse produire différents accords.

Les boutons situés à la partie gauche de l’accordéoniste

Par rapport à l’organisation des boutons joués avec la main droite, celle de gauche est beaucoup plus compliquée. Sur la majorité des accordéons appelés « basses standards », le clavier se divise en deux parties. La première est dédiée à la production de basses, donc des notes jouées une par une. La deuxième partie du clavier permet de jouer trois notes à la fois, en d’autres termes, des accords préfabriqués.

Les sons graves évoluent en quartes du haut en bas du clavier. En revanche, la basse qui est complémentaire, se trouvant sur la rangée au-dessus, correspond à la tierce.

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Origine et histoire de l’accordéon

Une série d’instruments, qui sont les précurseurs de l’accordéon, a vu le jour à partir du début du XIXe siècle. L’Aeoline de Bernhard Eschenbach et le Handaeoline de Christian Friedrich Ludwig Buschmann en font partie. Elles ont respectivement été conçues par ces inventeurs d’origine allemande en 1810 et en 1822.

En 1829, Cyril Demian a fabriqué un instrument rudimentaire qu’il a dénommé l’Akkordion. Il a conçu un modèle voué à l’accompagnement. Celui-ci est muni d’un soufflet à manipuler par la main gauche ainsi que d’un clavier réservé à la main droite. Ce dernier est composé de cinq touches permettant de jouer différentes notes. Le 6 mai 1829, cet Autrichien et ses fils déposent leur brevet sous le nom d’Accordion. En 1834, Cyril Demian a créé un nouveau modèle combinant deux claviers, dont l’un est réservé aux accords et l’autre sert à jouer de la mélodie.

Le 23 juin 1829, l’Anglais Charles Wheatstone a inventé le symphonium qu’il a ensuite rebaptisé « concertina ». Il a déposé le brevet de ce modèle de piano à bretelles unisonore le 8 février 1844. Louis Douce est l’inventeur de l’instrument de musique dénommé « accordéon harmonieux », conçu en 1841.

Philippe-Joseph Bouton a conçu le premier instrument à anche libre et à soufflet manuel, doté d’un clavier piano moderne à jouer avec la main droite. Il a breveté son accordéon à touches-piano en 1852. Ce modèle a connu une forte popularité aux États-Unis entre les années 1930 et 1960.

En 1863, l’Italien Paolo Soprani a fondé l’industrie « fisarmonica », basée à Castelfidardo. Comme la ville de Stradella, appartenant à la province de Pavie, cette dernière est aussi un berceau de l’accordéon moderne.

En France, le piano à bretelles a marqué l’histoire du bal musette et du swing manouche. Il est devenu un instrument prisé des bals populaires à partir de 1950. En 1970, il a connu un autre âge d’or suite à son utilisation dans des musiques folkloriques et traditionnelles. Cette même année est également marquée par le début de son enseignement dans les conservatoires. Depuis la fin du XIXe siècle jusqu’à présent, les modèles ne cessent d’évoluer et de se perfectionner.

Place de l’accordéon dans la culture française

En 1833, l’accordéon a fait son entrée dans la littérature française.  En effet, le vicomte François-René de Chateaubriand en fait allusion dans ses Mémoires d’outre-tombe.

Entre les années 1900 et 1950, le piano à bretelles a connu un succès sans précédent avec l’apogée du style musical appelé « musette ». Il était considéré à cette époque comme l’instrument roi à Paris. À la fin du XIXe siècle, les immigrés italiens qui se sont installés dans plusieurs arrondissements parisiens commençaient à jouer de l’accordéon pendant les bals auvergnats.

Charles Peguri, un fabricant d’accordéons, et Cantal Bouscatel, un joueur de cabrettecabr, ont formé un duo italo-auvergnat parfait. Ils sont à l’origine de l’heure de gloire de cet instrument à vent et du musette du dans la culture française.

À la fin de la Première Guerre mondiale, ce style musical a donné naissance à de nouvelles danses, dont le pasodoble et le foxtrot. Vers 1950, le piano à bretelles est devenu un instrument très apprécié dans les bals populaires. André Verchuren et Yvette Horner étaient les deux accordéonistes célèbres de cette époque.

Depuis quelques années, des festivals dédiés à cet instrument de musique se déroulent en France, entre autres :

  • le festival d’accordéon de Chamberet ;
  • le Grand Soufflet à Rennes ;
  • le festival Roubaix à l’accordéon dans le département du Nord ;
  • les Nuits de Nacre à Tulle ;
  • le festival Bouteille en Bretelles à Bourg-Saint-Andéol ;
  • le festival de l’accordéon de Lesterps en Charente, près de Confolens.

À présent, cet instrument à vent est utilisé par plusieurs artistes de variétés comme Yann Tiersen. Il est également connu dans le domaine des musiques improvisées, de la danse Buto et du jazz contemporain.

Fonctionnement de l’accordéon

L’accordéon est composé de trois blocs qui ont chacun leur rôle respectif. Les deux côtés sont dotés de boutons. Ceux qui se trouvent à droite de l’accordéoniste forment la partie mélodique. En d’autres termes, elles permettent de jouer une note.

En revanche, chaque bouton situé à sa gauche sert à jouer des accords ou plusieurs notes.  Cette partie de l’instrument de musique est ainsi réservée à l’accompagnement. Ces positions sont exprimées par rapport aux mains de l’accordéoniste et non à la place du public.

Le soufflet se trouve entre ces deux blocs. Ce composant est considéré comme les « poumons » de l’accordéon. Un mouvement latéral en poussant ou en tirant permet d’actionner une colonne d’air interne. Cette action déclenche la production du son.

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La fabrication d’un accordéon

La fabrication de cet instrument à vent nécessite un assemblage assez complexe de différentes pièces afin de former un soufflet et deux caisses. Sa facture requiert divers types de matériaux, notamment du bois, du carton, du tissu et du métal.

Tout artisan spécialisé dans la fabrication d’un piano à bretelles dispose d’une excellente dextérité. Il est important qu’il maîtrise certaines notions musicales afin de parvenir à assurer l’accordage de l’accordéon diatonique. La fabrication artisanale d’un instrument à vent nécessite un savoir-faire transmis de génération en génération à travers des sphères familiales et communautaires.

Les deux caisses

Le boîtier des accordéons est formé par deux caisses en bois rectangulaire et un clavier mélodique à boutons. Les matériaux à utiliser pour la fabrication de chacun de leurs composants doivent être sélectionnés avec soin. Parmi les essences les plus utilisées se trouvent le cèdre, le frêne, le peuplier, l’épicéa, le noyer et le bouleau.

Il est important de bien sabler les planches avant de les assembler en blocs en vue de réussir à former la structure principale du piano à bretelles. Dans la mesure où plusieurs couches de vernis sont appliquées sur les caisses, le temps de séchage pour cette étape peut prendre une semaine.

Le clavier mélodique et le clavier des accords

La fabrication du clavier mélodique requiert le façonnement de boutons, de touches et de plusieurs ouvertures. Ceux-ci sont coulés dans des moules spécifiques. Il est important que l’air puisse circuler correctement à l’intérieur de l’instrument à vent. Ainsi, de petites broches sont mises en place pour relier chaque bouton aux clapets. Ces derniers sont constitués de plusieurs pièces en cuir, en bois et en feutre, collées entre elles.

La fabrication du clavier des accords est moins compliquée, puisque ce composant ne comporte que deux touches et une soupape. Cette dernière sert à vider et à remplir le soufflet lorsqu’on l’étire ou le replie.

Le soufflet

Le soufflet ou banc d’accord de l’accordéon est fait à partir d’un carton spécifique aussi bien résistant que souple. En général, ce matériau est importé d’Italie. L’étape primordiale de la fabrication de ce bloc central de l’instrument à vent consiste à procéder aux découpes de cartons. Le but est de former une pièce de forme rectangulaire comportant deux manchons de fixation et plusieurs plis.

Pour assurer l’étanchéité du soufflet, l’artisan colle dans tous les coins inférieurs un losange de cuir. Les angles extérieurs sont renforcés par des pièces métalliques et par un ruban qui couvre la totalité de l’assemblage.

La dernière étape de la fabrication de ce composant consiste à fixer les deux extrémités du soufflet sur un cadre en bois ajusté au boîtier.

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Les anches

Les anches sont des petites lamelles métalliques qui sont apposées sur le sommier de l’instrument à soufflet avec de la cire d’abeille. Au contact de l’air, celles-ci vibrent et chacune est en mesure de produire deux notes bien distinctes à chaque fois qu’on tire ou qu’on pousse le soufflet.

Les lames sont fixées sur des plaquettes ou des cadres. Ces derniers sont enveloppés d’une peau en plastique ou en cuir afin d’empêcher les deux anches de vibrer ensemble. La note émise par les lamelles dépend surtout de leur taille. En effet, plus une anche est de grande dimension, plus elle produit un son grave. En revanche, celle de petite taille émet une tonalité aiguë. La fabrication de l’intérieur de l’instrument à vent s’avère l’opération la plus délicate pour tout facteur d’accordéons, puisque la sonorité émerge de cette partie.

L’assemblage de tous les composants

La dernière étape consiste à assembler toutes les pièces d’un accordéon. Ce travail demande une grande minutie. Le fabricant doit disposer d’oreilles musicales d’une remarquable finesse.

Il est aussi en mesure d’adapter certaines pièces en fonction des besoins d’un accordéoniste. Parfois, certains professionnels demandent au fabricant d’ajouter des tirettes construites au tour à bois afin de modifier la sonorité du piano à bretelles.

Techniques pour apprendre à jouer de l’accordéon

Pour jouer à l’accordéon, le musicien commence par ouvrir et refermer le bloc central de l’instrument. La partie droite du piano à bretelles reste statique, tandis que celle de gauche est à tirer ou à pousser pour effectuer un va-et-vient du soufflet. Parallèlement, l’accordéoniste appuie sur des touches des claviers dans le but de produire des notes. L’air passe dans le mécanisme, et actionne une ou plusieurs anches.

L’organisation des notes et la production de celles-ci diffèrent d’un type d’instrument à un autre. En effet, certains sont bisonores (les modèles diatoniques), tandis que d’autres produisent une même note que l’on pousse ou que l’on tire le soufflet.

Notation musicale occidentale de l’accordéon

À l’instar des instruments à cordes, il existe également des tablatures pour accordéon diatonique. Les deux systèmes de notation les plus utilisés sont celui de « poussé-tiré » ou CADB et celui dit « par rangées ». Toutefois, ils reposent tous les deux sur les mêmes principes, à savoir :

  • la tablature indiquée de façon simultanée à la partition ;
  • le clavier main gauche de l’accordéoniste codé à l’aide d’une majuscule ou d’une minuscule renvoyant à la notation anglo-saxonne ;
  • les touches du clavier main droite représentées par des numéros.

Un accordéoniste a la possibilité d’effectuer une lecture de la tablature transpositrice sur des pianos à bretelles dans des tonalités différentes. La seule condition d’utilisation nécessaire est que les instruments de musique soient dotés de la même disposition de touches.

Réglage et entretien d’un accordéon

L’accordéon a un aspect robuste, mais il s’agit d’un instrument à anche libre assez fragile. Par conséquent, il est important de bien l’entretenir pour qu’il puisse durer dans le temps. Entre autres, il doit être stocké dans son contenant adapté et sur ses pieds afin d’éviter les chutes et de limiter l’usure des pièces.

Son stockage et son transport

Acheter un étui est indispensable pour transporter un accordéon sans courir le risque de l’abîmer. Cette housse de stockage le protège de la poussière, des chocs, de l’humidité et de l’excès de température. Il est conseillé de toujours la refermer après avoir sorti l’instrument.

Cet instrument à vent ne supporte pas la température élevée. Par conséquent, il est déconseillé de le poser dans un endroit en plein soleil ou près d’un radiateur. Une forte chaleur est susceptible de modifier certains montages en cire ou de faire jouer différentes pièces en bois. En outre, un accordéon chromatique peut être recouvert de celluloïd. Dans ce cas, il est important de veiller à s’éloigner de toute source de flammes avant d’y jouer.

La poussière est l’une des principales ennemies des accordéons. Elle risque d’encrasser les boutons et les différentes pièces de l’instrument à vent. Il est important de toujours le couvrir lorsqu’il ne sert pas ou d’en jouer dans des lieux propres et aérés. Un piano à bretelles ne supporte pas l’humidité. En effet, certains composants en métal, notamment les anches, risquent de rouiller ou de se déformer en cas de contact avec l’eau.

Sa manipulation

L’accordéoniste veille toujours à manipuler son instrument à vent avec ses deux mains. Il le saisit fermement sur les deux côtés de la caisse. Il est déconseillé de le soulever à partir de la partie centrale (le soufflet).

Il est important de tenir cet instrument de musique hors de portée des enfants pour éviter qu’ils s’amusent à tirer sur les boutons. De même, lors de son rangement ou au moment d’en jouer, il est judicieux de s’assurer qu’aucune touche ne s’accroche à quelque chose.

Son entretien

Un pinceau doux permet de se débarrasser facilement de la poussière sous les plis du soufflet. Pour l’entretien de la caisse, un chiffon suffit. Il est déconseillé d’utiliser des produits liquides lors du nettoyage de l’instrument.

Comme le piano, il arrive qu’avec le temps, les notes s’éloignent du diapason, le vibrato n’est plus homogène ou la cire se détériore. Vu la complexité de ses mécanismes, il s’avère judicieux de confier l’entretien général d’un accordéon à un réparateur ou un accordeur professionnel.

Guide pour apprendre l’accordéon

Le fait de devoir jouer avec les deux mains à la fois rend l’apprentissage de l’accordéon un peu difficile pour les débutants. En effet, celle de gauche appuie sur des boutons de basses et d’accords, tandis que celle de droite joue la mélodie sur un clavier. Pour maîtriser l’instrument, il est important que l’accordéoniste parvienne à développer une bonne coordination entre ses deux mains.

La dextérité et l’agilité des doigts de la main droite sont les deux qualités indispensables pour pouvoir appliquer la bonne technique de jeu. Il est recommandé à l’accordéoniste débutant de s’entraîner régulièrement pour progresser dans les meilleures conditions. La pratique de certains exercices comme les arpèges ou les gammes aide à améliorer la vitesse et à coordonner les mouvements de chaque main.

Des séances de travail journalier intenses, mais de courte durée permettent de progresser rapidement dans l’apprentissage d’un piano à bretelles. Cette technique évite la fatigue pouvant nuire à la qualité de la pratique.

L’utilisation de différents supports pédagogiques et la consultation de tutoriels en ligne font partie des options permettant d’accélérer l’apprentissage. Il est également possible de suivre des cours de piano à bretelles à domicile ou auprès d’une école de musique.

Quelques conseils pour choisir un accordéon avant d’en acheter

Il s’avère important de définir l’accordéon adapté à ses besoins avant de procéder à l’achat. Certains instruments sont en effet bisonores, tandis que d’autres sont unisonores. Cette différence a un impact important sur le mode de jeu de l’instrument. En outre, un modèle chromatique peut être utilisé pour un répertoire assez large (jazz, bal musette ou variété). En revanche, un accordéon diatonique est idéal pour jouer une musique folklorique ou d’autres styles traditionnels.

La prise en considération des quelques critères suivants facilite le choix d’un piano à bretelles :

  • son poids : un instrument de plus de 6 kg ne convient pas à une jeune fille afin de prévenir une dorsalgie ;
  • sa taille : l’idéal est de tenir compte de la corpulence de l’accordéoniste pour qu’il puisse manipuler avec aisance l’instrument à vent ;
  • son usage : un professionnel peut choisir un modèle disposant de plusieurs rangées pour jouer un répertoire varié.

Il est conseillé de privilégier une marque bien connue dans le but de trouver un instrument fiable. Rien n’empêche également de demander conseil à un accordéoniste professionnel qui saura vous orienter vers le modèle qu’il vous faut. Faites un tour sur le site de France Minéraux afin d’accéder à une vaste gamme d’accordéons diatoniques et chromatiques de qualité. Différents types d’instruments à vent adaptés au budget de chacun sont disponibles sur ses pages.

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