
POUR TOUT SAVOIR SUR LA MALARIA: SES
SIGNIFICATIONS, SES BLOCAGES PHYSIQUES ET ÉMOTIONNELS !
Malaria (paludisme) (infection)
La malaria ou paludisme est une maladie infectieuse transmise par la piqûre du moustique Anophèle femelle, porteuse du parasite Plasmodium. Cette maladie millénaire, dont le nom “malaria” vient de l’italien “mal’aria” signifiant “mauvais air”, témoigne de l’ancienne croyance que les miasmes des marécages en étaient responsables. Sur le plan symbolique, elle représente une invasion de l’espace vital par un élément étranger. La fièvre cyclique caractéristique du paludisme révèle un combat intérieur intense, où le corps lutte pour rétablir son équilibre naturel. En médecine traditionnelle, la malaria est souvent associée à des déséquilibres énergétiques profonds, affectant particulièrement le foie, la rate et le sang — organes liés à notre vitalité fondamentale. Comprendre cette maladie au-delà de son aspect purement médical permet d’explorer ses dimensions émotionnelles, mentales et spirituelles souvent négligées dans l’approche conventionnelle.
Les informations présentées sur cette page relèvent des médecines douces et alternatives. Elles ne remplacent en aucun cas un avis médical, un diagnostic ou un traitement prescrit par un professionnel de santé. En cas de problème de santé, veuillez consulter un médecin ou un spécialiste qualifié.
Qu’est-ce que la malaria ?
La malaria, ou paludisme, est une infection parasitaire transmise à l’homme par la piqûre d’un moustique Anophèle infecté par le parasite Plasmodium. Cette maladie potentiellement mortelle se caractérise par des accès de fièvre cycliques intenses, des frissons, des sueurs et des maux de tête. Le parasite s’attaque principalement aux globules rouges, provoquant leur destruction massive et affectant ainsi le transport d’oxygène dans l’organisme. Les organes particulièrement touchés sont le foie, où le parasite se développe initialement, et la rate qui tente de filtrer les cellules sanguines infectées. Dans les cas graves, la malaria peut entraîner des complications sévères comme l’anémie profonde, l’insuffisance rénale, l’œdème pulmonaire, voire des complications cérébrales. Cette maladie, présente dans plus de 100 pays, affecte principalement les régions tropicales et subtropicales d’Afrique, d’Asie et d’Amérique latine, touchant chaque année des millions de personnes avec un impact socio-économique considérable.
Quels sont les blocages physiques de la malaria ?
La malaria crée des blocages physiques majeurs en perturbant profondément l’équilibre du corps. Le premier blocage concerne le système sanguin et le foie, premiers touchés par l’invasion parasitaire. Les globules rouges infectés éclatent, libérant des toxines qui déclenchent les accès de fièvre caractéristiques et compromettent la circulation sanguine. La rate, en tentant de filtrer ces cellules endommagées, s’hypertrophie et devient douloureuse. Le système immunitaire subit également un épuisement progressif en luttant contre cette infection chronique. Les cycles de fièvre intense suivis de transpiration abondante créent un déséquilibre thermique et hydroélectrolytique. Le foie, siège initial de la multiplication parasitaire, voit ses fonctions de détoxification altérées. Au niveau cérébral, la malaria peut provoquer des obstructions vasculaires entraînant confusion et troubles neurologiques. Le système digestif n’est pas épargné avec des nausées, vomissements et diarrhées fréquents. Ces multiples blocages physiologiques épuisent les réserves énergétiques du corps, créant un état de fatigue chronique et d’affaiblissement général.
Quelles sont les causes émotionnelles (désirs bloqués) de la malaria ?
Sur le plan émotionnel, la malaria peut être reliée à plusieurs désirs bloqués. Tout d’abord, cette maladie transmise par un “envahisseur” extérieur symbolise souvent un sentiment de violation des frontières personnelles et émotionnelles. Elle peut refléter une difficulté à établir des limites saines dans ses relations, laissant des influences extérieures toxiques pénétrer son espace vital. Les cycles de fièvre caractéristiques du paludisme peuvent représenter des émotions refoulées qui resurgissent périodiquement de façon incontrôlable. La destruction des globules rouges évoque symboliquement une perte de joie et d’enthousiasme pour la vie, comme si quelque chose drainait l’énergie vitale. L’atteinte au foie, siège de la colère en médecine traditionnelle chinoise, suggère des frustrations accumulées et non exprimées. L’affection de la rate évoque des ruminations excessives et des soucis constants. Cette maladie peut également émerger chez des personnes qui se sentent déracinées de leur milieu d’origine, vivant un conflit intérieur entre adaptation à un nouvel environnement et nostalgie du passé.
Quelles sont les causes mentales (peurs et croyances) de la malaria ?
Au niveau mental, la malaria peut être associée à des schémas de pensée spécifiques. La peur de l’inconnu ou de l’étranger peut jouer un rôle important, reflétant une méfiance excessive envers ce qui est différent ou nouveau. Cette maladie, souvent contractée lors de voyages ou dans des environnements inhabituels, peut symboliser la croyance que s’aventurer hors de sa zone de confort est dangereux. La nature cyclique de la fièvre paludéenne peut représenter des schémas de pensée répétitifs et négatifs dont la personne n’arrive pas à se libérer. La croyance d’être vulnérable ou sans défense face aux agressions extérieures peut également contribuer à cette affection. La malaria touche principalement le sang, symbole de notre identité et de notre héritage familial, suggérant des conflits liés à l’appartenance ou à l’identité profonde. Elle peut refléter une vision du monde où l’on se perçoit comme impuissant face aux forces extérieures. La sensation d’être dans un environnement hostile ou toxique, littéralement ou figurativement, peut également constituer un terrain mental favorable à cette maladie.
Quel est le besoin et le message spirituel sous-jacent de la malaria ?
Le message spirituel de la malaria nous invite à examiner notre relation aux intrusions extérieures et à notre capacité de préserver notre intégrité. Cette maladie nous appelle à renforcer nos frontières énergétiques et à discerner ce que nous acceptons de laisser entrer dans notre vie. Elle nous enseigne l’importance de l’adaptabilité face aux environnements changeants tout en maintenant notre équilibre intérieur. Le paludisme, qui attaque le sang — porteur de notre vitalité — nous pousse à reconsidérer notre rapport à l’énergie vitale et à la façon dont nous la dépensons. Les cycles fébriles reflètent le besoin de purification et de libération des toxines émotionnelles accumulées. Cette maladie nous confronte également à notre mortalité et peut déclencher une réévaluation profonde de nos priorités. Sur un plan plus large, la prévalence de la malaria dans certaines régions souligne les inégalités mondiales et notre interconnexion planétaire. Le message ultime pourrait être un appel à l’humilité face aux forces de la nature et un rappel que notre bien-être individuel est indissociable de l’équilibre collectif et environnemental.