X
maladies-fond-symboles

POUR TOUT SAVOIR SUR LA MALADIE DE UNVERRICHT-LUNDBORG: SES
SIGNIFICATIONS, SES BLOCAGES PHYSIQUES ET ÉMOTIONNELS !

Maladie de Unverricht-Lundborg (épilepsie myoclonique progressive de type 1) (maladie)

La maladie de Unverricht-Lundborg, également connue sous le nom d’épilepsie myoclonique progressive de type 1 (EPM1), est une affection neurologique rare d’origine génétique. Nommée d’après les neurologues Heinrich Unverricht et Herman Lundborg qui l’ont décrite au début du 20ème siècle, cette pathologie appartient à la famille des épilepsies myocloniques progressives. Elle se caractérise par des secousses musculaires involontaires (myoclonies), des crises d’épilepsie et une détérioration neurologique graduelle. Cette maladie se manifeste généralement entre 6 et 16 ans, marquant un tournant brutal dans la vie des personnes touchées. Considérée comme l’une des formes les plus fréquentes d’épilepsie myoclonique progressive, elle est particulièrement prévalente dans certaines populations comme en Finlande. Au-delà de ses manifestations physiques, cette maladie comporte des dimensions émotionnelles et psychologiques profondes qui méritent d’être explorées pour mieux comprendre son impact global sur la personne.



⚠️

Les informations présentées sur cette page relèvent des médecines douces et alternatives. Elles ne remplacent en aucun cas un avis médical, un diagnostic ou un traitement prescrit par un professionnel de santé. En cas de problème de santé, veuillez consulter un médecin ou un spécialiste qualifié.

Qu’est-ce que la maladie de Unverricht-Lundborg ?

La maladie de Unverricht-Lundborg est une affection neurologique héréditaire qui se transmet selon un mode autosomique récessif. Elle est causée par des mutations du gène CSTB, qui code pour la cystatine B, une protéine inhibitrice des protéases à cystéine. Les premiers symptômes apparaissent généralement pendant l’enfance ou l’adolescence, avec des myoclonies (secousses musculaires brèves et involontaires) qui s’aggravent particulièrement lors de mouvements volontaires ou de stimuli comme le stress, la fatigue ou la lumière vive. Au fil du temps, les patients développent des crises tonico-cloniques généralisées, une ataxie (troubles de la coordination), des tremblements, et parfois un déclin cognitif progressif. Contrairement à d’autres formes d’épilepsie myoclonique progressive, la maladie de Unverricht-Lundborg progresse plus lentement et n’entraîne généralement pas de démence sévère. Bien qu’il n’existe pas de traitement curatif, la prise en charge symptomatique avec des médicaments antiépileptiques et une rééducation adaptée permet de contrôler partiellement les symptômes et d’améliorer la qualité de vie des patients.



Quels sont les blocages physiques de la maladie de Unverricht-Lundborg ?

Les blocages physiques de la maladie de Unverricht-Lundborg se manifestent principalement au niveau du système nerveux central. La déficience en cystatine B entraîne une accumulation anormale de protéines dans les neurones, perturbant leur fonctionnement et provoquant une hyperexcitabilité cérébrale. Cette dysrégulation se traduit par des secousses myocloniques qui affectent particulièrement les bras et les épaules, pouvant être si intenses qu’elles provoquent des chutes ou empêchent l’exécution de tâches quotidiennes simples. La progression de la maladie entraîne des troubles de l’équilibre et de la coordination qui limitent progressivement la mobilité. Les patients développent souvent une dysarthrie (difficulté d’élocution) due à l’atteinte des muscles de la parole. Sur le plan sensoriel, une hypersensibilité aux stimuli externes comme la lumière ou le bruit peut déclencher ou aggraver les crises. L’évolution de la maladie peut également affecter les fonctions cognitives, bien que les capacités intellectuelles restent relativement préservées comparativement à d’autres maladies neurodégénératives. Ces blocages physiques représentent une entrave progressive à l’autonomie de la personne.



Quelles sont les causes émotionnelles (désirs bloqués) de la maladie de Unverricht-Lundborg ?

Du point de vue de la psychosomatique, la maladie de Unverricht-Lundborg pourrait symboliser des émotions refoulées qui cherchent à s’exprimer à travers le corps. Les myoclonies, ces mouvements involontaires et soudains, peuvent représenter des impulsions émotionnelles qui ne trouvent pas d’expression appropriée dans la vie consciente. Cette maladie touchant principalement les jeunes au moment de la puberté ou de l’adolescence, période cruciale de formation de l’identité, elle pourrait refléter un conflit identitaire profond. La personne peut éprouver un sentiment d’impuissance face aux changements de son corps et de sa vie, tout comme elle se sent impuissante face aux mouvements involontaires qui l’agitent. Un désir de contrôle frustré pourrait également sous-tendre cette pathologie – le corps échappe littéralement au contrôle de la conscience, reflétant peut-être une vie où la personne se sent contrainte par des circonstances extérieures. La nature progressive de la maladie peut aussi symboliser un sentiment de perte graduelle d’autonomie ou d’expression personnelle, comme si la personne se sentait de plus en plus limitée dans sa capacité à vivre selon ses propres termes.



Quelles sont les causes mentales (peurs et croyances) de la maladie de Unverricht-Lundborg ?

Sur le plan mental, la maladie de Unverricht-Lundborg peut être associée à des schémas de pensée et des croyances limitantes profondes. La peur de l’expression pourrait être centrale – ces mouvements involontaires pourraient symboliquement représenter des pensées ou des émotions qui cherchent à s’exprimer malgré une censure intérieure. Un sentiment de vulnérabilité excessive face au monde extérieur pourrait également être présent, comme le suggère l’hypersensibilité aux stimuli environnementaux qui caractérise cette maladie. La personne pourrait inconsciemment croire qu’elle doit rester en état d’alerte permanent, ce qui se traduirait par l’hyperexcitabilité de son système nerveux. Les crises qui surviennent souvent dans des situations de stress émotionnel peuvent refléter une difficulté à gérer les tensions intérieures et la pression externe. La nature génétique de cette affection pourrait également être liée symboliquement à des mémoires transgénérationnelles, comme si la personne portait des fardeaux émotionnels ou des traumatismes non résolus de ses ancêtres. Ces schémas mentaux créeraient un terrain propice à l’expression physique de la maladie.



Quel est le besoin et le message spirituel sous-jacent de la maladie de Unverricht-Lundborg ?

Le message spirituel de la maladie de Unverricht-Lundborg pourrait inviter à une profonde acceptation de ce qui échappe au contrôle conscient. Face à des mouvements involontaires, la personne est confrontée à la réalité que tout ne peut être maîtrisé par la volonté, une leçon d’humilité qui peut ouvrir à une compréhension plus large de l’existence. Cette maladie appelle à développer une conscience au-delà du corps physique, à reconnaître que notre identité transcende nos limitations corporelles. Le caractère progressif de la maladie invite à une forme de lâcher-prise et d’adaptation constante, enseignant la résilience et la capacité à trouver du sens malgré l’adversité. Sur un plan plus profond, les myoclonies peuvent être interprétées comme une invitation à reconnaître et à libérer les énergies bloquées dans notre système. La maladie pourrait représenter un appel à une plus grande authenticité, à exprimer ce qui a été réprimé. Elle nous rappelle aussi l’importance de la communauté et du soutien mutuel, car face à de tels défis, l’isolement n’est pas une option viable. En définitive, cette condition peut devenir un puissant catalyseur d’éveil spirituel, transformant une limitation apparente en voie d’expansion de la conscience.

Retour au début

Recherche de produits

Le produit a été ajouté à votre panier