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POUR TOUT SAVOIR SUR LA FIÈVRE DE LASSA: SES
SIGNIFICATIONS, SES BLOCAGES PHYSIQUES ET ÉMOTIONNELS !

Fièvre de Lassa (infection)

La fièvre de Lassa, nommée d’après la ville nigériane où elle fut identifiée pour la première fois en 1969, représente bien plus qu’une simple infection virale. Cette maladie hémorragique, causée par un virus de la famille des Arenaviridae, se transmet principalement par contact avec les excréments de rongeurs infectés, notamment le rat multimamelle africain. Sur le plan symbolique, cette infection nous confronte à l’invasion d’éléments extérieurs dans notre espace vital et à notre relation avec notre environnement. Elle nous questionne sur notre capacité à maintenir nos frontières personnelles et notre système de défense. Comme toutes les maladies, la fièvre de Lassa peut être abordée non seulement sous l’angle médical, mais aussi comme un langage métaphorique du corps révélant des déséquilibres plus profonds dans notre relation au monde et à nous-mêmes.

Qu’est-ce que la fièvre de Lassa ?

La fièvre de Lassa est une maladie hémorragique virale aiguë qui appartient à la famille des fièvres hémorragiques virales. Causée par le virus Lassa, elle se transmet principalement par l’exposition aux excréments de rongeurs infectés, en particulier le rat multimamelle africain (Mastomys natalensis). Cette infection zoonotique est endémique en Afrique de l’Ouest, touchant principalement le Nigeria, la Sierra Leone, la Guinée et le Liberia.

Cliniquement, la maladie débute par des symptômes non spécifiques comme fièvre, fatigue et maux de tête, puis peut évoluer vers des manifestations plus graves incluant des hémorragies, des vomissements et des douleurs thoraciques et abdominales. Dans les cas sévères, elle peut entraîner une défaillance multiviscérale, des œdèmes faciaux, des convulsions et même le décès. La période d’incubation varie généralement de 6 à 21 jours, et environ 80% des infections restent asymptomatiques, ce qui complique la détection et la prévention de sa propagation.

Quels sont les blocages physiques de la fièvre de Lassa ?

La fièvre de Lassa provoque plusieurs blocages significatifs dans l’organisme, principalement liés à sa nature hémorragique et systémique. D’abord, le virus cible les barrières protectrices du corps en compromettant l’intégrité des vaisseaux sanguins, créant une perméabilité qui permet aux fluides de s’échapper dans les tissus environnants. Cette atteinte vasculaire représente un blocage fondamental de la fonction de contenance des vaisseaux.

Le virus perturbe également le système immunitaire, entravant sa capacité à reconnaître et éliminer les agents pathogènes. Cette défaillance immunitaire favorise la réplication virale et l’extension de l’infection. Sur le plan organique, la fièvre de Lassa affecte particulièrement le foie, siège de la détoxification et symbole de la gestion des émotions, notamment la colère. Les reins, responsables de la filtration des toxines et liés symboliquement à la peur, subissent également des dommages importants. Le système nerveux central peut être touché, créant des blocages dans la transmission des informations neurales et affectant la conscience. Ces blocages physiques reflètent une perturbation profonde des systèmes de protection, de filtration et de communication du corps.

Quelles sont les causes émotionnelles (désirs bloqués) de la fièvre de Lassa ?

Sur le plan émotionnel, la fièvre de Lassa peut être interprétée comme la manifestation de désirs profondément bloqués. L’origine zoonotique de cette infection, transmise par des rongeurs qui s’infiltrent dans l’espace domestique, symbolise une invasion perçue dans l’espace personnel ou émotionnel de l’individu. Cette maladie peut refléter un sentiment d’impuissance face à des intrusions extérieures, qu’elles soient physiques ou psychologiques.

La nature hémorragique de la maladie, où les fluides s’échappent des vaisseaux, peut être associée à une difficulté à contenir ses émotions, particulièrement celles liées à la colère réprimée ou à des blessures émotionnelles non guéries. Le désir de protection et de sécurité peut être profondément frustré, créant une anxiété chronique qui affaiblit le système immunitaire. Par ailleurs, cette infection peut révéler un conflit entre le désir d’ouverture aux autres et la peur d’être envahi ou contaminé par leurs énergies ou influences. L’incapacité à établir des limites saines ou à exprimer ses besoins personnels peut contribuer à ce déséquilibre émotionnel, créant un terrain propice aux manifestations physiques de la maladie.

Quelles sont les causes mentales (peurs et croyances) de la fièvre de Lassa ?

Au niveau mental, la fièvre de Lassa peut être associée à des schémas de pensée et des croyances limitantes profondément ancrés. La peur de l’invasion – qu’elle soit physique, émotionnelle ou énergétique – constitue souvent un élément central. Cette angoisse peut découler d’expériences passées où les frontières personnelles ont été violées, créant une hypervigilance constante qui épuise le système immunitaire.

Les croyances autour de l’impureté et de la contamination peuvent également jouer un rôle important. L’individu peut inconsciemment adhérer à l’idée que le monde extérieur est dangereux et menaçant, renforçant une posture défensive permanente. La symbolique du rongeur, vecteur de la maladie, évoque des pensées parasites qui rongent intérieurement et contaminent l’esprit. De plus, des croyances d’impuissance face aux forces extérieures peuvent contribuer à cette vulnérabilité perçue. Cette maladie hémorragique, où le sang – symbole de vie et d’énergie vitale – s’échappe, peut refléter une croyance profonde que notre énergie nous est dérobée par des circonstances externes. Ces schémas mentaux créent un état de stress chronique qui affaiblit progressivement les défenses naturelles du corps.

Quel est le besoin et le message spirituel sous-jacent de la fièvre de Lassa ?

Le message spirituel de la fièvre de Lassa nous invite à examiner notre relation aux frontières personnelles et à la protection de notre espace vital, tant physique qu’énergétique. Cette maladie nous appelle à reconnaître notre besoin fondamental de sécurité tout en nous questionnant sur la manière dont nous établissons des limites dans notre vie. Sommes-nous trop rigides, créant des barrières impénétrables qui nous isolent, ou au contraire trop perméables, permettant à des influences nocives d’envahir notre espace?

Cette infection nous encourage également à explorer notre relation au pouvoir personnel. Elle nous demande de trouver un équilibre entre l’ouverture nécessaire à la vie et la protection de notre intégrité. Sur un plan plus profond, la fièvre de Lassa nous rappelle l’importance de purifier nos pensées et nos émotions, d’éliminer ce qui est toxique dans notre environnement mental et émotionnel. Elle nous invite à prendre conscience de notre interconnexion avec tous les êtres vivants, y compris ceux que nous considérons comme nuisibles, et à réfléchir à notre cohabitation sur cette planète. En acceptant ce message, nous pouvons transformer cette épreuve en opportunité de guérison profonde et de reconnexion avec notre sagesse intérieure.