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POUR TOUT SAVOIR SUR LA DMLA: SES
SIGNIFICATIONS, SES BLOCAGES PHYSIQUES ET ÉMOTIONNELS !

DMLA (Dégénérescence maculaire liée à l’âge) (maladie)

La DMLA, ou dégénérescence maculaire liée à l’âge, représente la première cause de malvoyance dans les pays occidentaux chez les personnes de plus de 50 ans. Cette affection oculaire progressive touche la macula, zone centrale de la rétine responsable de la vision fine et détaillée. Au-delà de sa dimension physique, la DMLA porte en elle un message profond sur notre façon de voir le monde et notre propre existence. Elle survient à un âge où l’être humain fait face à des questionnements essentiels sur son parcours de vie, ses regrets et ses aspirations. La vision symbolise notre capacité à percevoir la vérité, à discerner l’essentiel, à voir devant nous. Quand cette vision centrale s’altère, c’est souvent le signe d’un bouleversement plus profond dans notre perception intérieure. Comprendre la DMLA au-delà de sa dimension médicale nous invite à explorer notre relation à l’avenir, à nos émotions refoulées et à notre acceptation du vieillissement.

Qu’est-ce que la DMLA ?

La DMLA (Dégénérescence Maculaire Liée à l’Âge) est une maladie oculaire chronique et évolutive qui affecte spécifiquement la macula, cette petite zone au centre de la rétine essentielle à la vision des détails. Elle se manifeste généralement après 50 ans et sa prévalence augmente considérablement avec l’âge. On distingue deux formes principales : la forme atrophique (sèche), plus lente et progressive, qui représente environ 80% des cas, et la forme exsudative (humide), plus rare mais plus agressive, caractérisée par la formation de vaisseaux sanguins anormaux. Les symptômes incluent une vision centrale floue, une déformation des lignes droites, des taches sombres dans le champ visuel central et des difficultés à reconnaître les visages. Contrairement aux idées reçues, la DMLA n’entraîne pas une cécité totale mais préserve la vision périphérique, permettant une certaine autonomie. Les facteurs de risque comprennent l’âge, le tabagisme, les antécédents familiaux, l’exposition au soleil et certains facteurs alimentaires, invitant à une réflexion globale sur notre hygiène de vie.

Quels sont les blocages physiques de la DMLA ?

Au niveau physiologique, la DMLA se caractérise par des altérations dans la couche pigmentaire de la rétine, affectant directement la macula. Cette zone, riche en cellules photoréceptrices appelées cônes, est responsable de la vision centrale et de la perception des couleurs. Avec l’âge, des dépôts métaboliques (drusen) s’accumulent sous la rétine, perturbant l’échange nutritionnel et provoquant une inflammation chronique qui endommage progressivement les tissus. Dans la forme sèche, les cellules de l’épithélium pigmentaire s’atrophient, entraînant une dégénérescence des photorécepteurs. Dans la forme humide, des vaisseaux sanguins anormaux se développent sous la rétine, causant des fuites de liquide et de sang qui détériorent rapidement la vision centrale. Ces mécanismes reflètent un déséquilibre des systèmes antioxydants naturels et une sensibilité accrue au stress oxydatif. L’organisme montre également une déficience en certains nutriments protecteurs comme les caroténoïdes (lutéine, zéaxanthine), les oméga-3, la vitamine C et E, qui jouent un rôle crucial dans la protection des cellules rétiniennes contre les dommages environnementaux.

Quelles sont les causes émotionnelles (désirs bloqués) de la DMLA ?

La DMLA peut être interprétée comme l’expression d’émotions non résolues et de désirs inassouvis liés à notre perception du monde. Les yeux, symboles de notre façon de “voir” la vie, révèlent à travers cette maladie une résistance face à certaines réalités de l’existence. La dégénérescence de la vision centrale peut traduire une difficulté à se concentrer sur le présent, préférant soit s’attarder sur le passé, soit s’inquiéter pour l’avenir. Un sentiment profond d’impuissance ou de désillusion peut également se manifester, particulièrement chez les personnes qui ont dû renoncer à certains rêves ou projets. La macula, centre de notre capacité à discerner les détails, représente symboliquement notre aptitude à voir ce qui est vraiment important. Sa détérioration pourrait révéler une frustration face à l’incapacité de réaliser ses aspirations profondes ou une difficulté à accepter la trajectoire de sa vie. De nombreuses personnes atteintes évoquent avoir “trop vu” de souffrances ou de déceptions, comme si l’âme cherchait à se protéger en voilant le regard sur un monde perçu comme trop douloureux ou décevant.

Quelles sont les causes mentales (peurs et croyances) de la DMLA ?

Au niveau mental, la DMLA peut être reliée à des schémas de pensée restrictifs et des peurs profondes liés à notre perception du vieillissement. La crainte de devenir inutile ou dépendant à mesure que l’âge avance peut inconsciemment influencer notre santé oculaire. La macula, responsable de notre vision précise, symbolise notre capacité à discerner clairement notre chemin de vie. Sa dégénérescence peut refléter une croyance limitante selon laquelle “il n’y a plus rien à voir” ou “l’avenir est sombre”. Cette maladie apparaît souvent chez des personnes perfectionnistes, habituées à tout contrôler visuellement, qui éprouvent des difficultés à lâcher prise face aux changements inévitables du temps. On observe fréquemment une résistance à voir certaines vérités dérangeantes sur soi-même ou sur ses proches. La peur de l’inconnu et de la vulnérabilité peut également jouer un rôle, comme si l’esprit préférait “brouiller” la vision plutôt que d’affronter certaines réalités. Ces peurs s’ancrent souvent dans un système de croyances rigide sur ce que devrait être la vieillesse, créant un conflit intérieur entre nos aspirations et notre perception des limitations liées à l’âge.

Quel est le besoin et le message spirituel sous-jacent de la DMLA ?

Le message spirituel de la DMLA nous invite à développer une nouvelle façon de voir, au-delà du regard physique. Cette maladie nous appelle à une profonde transformation de notre perception, nous encourageant à développer notre vision intérieure et intuitive. Lorsque la vision périphérique devient notre principal mode de perception visuelle, c’est une invitation à élargir notre champ de conscience et à considérer ce qui nous entoure dans une perspective plus vaste. La DMLA survient généralement à un âge où l’être est appelé à faire le bilan de sa vie, suggérant la nécessité de porter un regard bienveillant sur son parcours. Le besoin fondamental exprimé est celui d’acceptation – accepter les limites du corps vieillissant tout en reconnaissant que notre essence va bien au-delà de nos capacités physiques. Cette maladie nous enseigne également la valeur de l’instant présent et l’importance de cultiver d’autres sens et facultés. En nous privant progressivement de la vision des détails, elle nous invite à percevoir l’essentiel, à développer notre sensibilité aux énergies subtiles et à nous connecter plus profondément à notre sagesse intérieure, celle qui voit au-delà des apparences et reconnaît la beauté inhérente à toute chose.