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IcosaĂšdre

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CaractĂ©ristiques de l’isocaĂšdre

  • Un icosaĂšdre est un solide Ă  trois dimensions faisant partie des polyĂšdres et comportant 20 faces.
  • Le terme provient du grec « icos » signifiant « vingt ».
  • Il existe divers types d’icosaĂšdres tels que l’icosaĂšdre rĂ©gulier convexe, l’icosaĂšdre rhombique, le pseudo-icosaĂšdre, le grand icosaĂšdre et les solides de Johnson.
  • Dans TimĂ©e, Platon a reliĂ© les cinq polyĂšdres rĂ©guliers convexes Ă  des Ă©lĂ©ments de l’univers.
  • Il a considĂ©rĂ© l’icosaĂšdre comme reprĂ©sentatif de l’eau en raison de sa grande stabilitĂ© due Ă  son nombre Ă©levĂ© de faces et de sommets par rapport aux autres quatre polyĂšdres.

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L’IcosaĂšdre, 5Ăšme des 5 solides de Platon, son histoire, ses significations, ses symboles en gĂ©omĂ©trie sacrĂ©e et ses bienfaits

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Qu’est-ce qu’un icosaùdre ?

En gĂ©omĂ©trie, un icosaĂšdre est un solide Ă  trois dimensions appartenant Ă  la famille des polyĂšdres. Il comporte exactement vingt faces. Le nom icosaĂšdre vient du grec « icos » qui signifie vingt. Il y a plusieurs types diffĂ©rents d’icosaĂšdre comme l’icosaĂšdre rĂ©gulier convexe, l’icosaĂšdre rhombique, le pseudo-icosaĂšdre, le grand icosaĂšdre et des solides de Johnson.

Histoire de l’icosaùdre

Dans son Ɠuvre intitulĂ©e TimĂ©e, Platon a associĂ© les cinq polyĂšdres rĂ©guliers convexes Ă  diffĂ©rents Ă©lĂ©ments de l’univers. Il a attribuĂ© l’icosaĂšdre Ă  l’eau, en raison de son grand nombre de faces et de sommets qui en font le plus stable parmi les quatre autres. Il a Ă©galement remarquĂ© que pour crĂ©er un Ă©lĂ©ment d’eau, il fallait combiner deux et demi d’Ă©lĂ©ments d’air, et que cet Ă©lĂ©ment pouvait ĂȘtre dĂ©truit par le feu en crĂ©ant cinq Ă©lĂ©ments de feu. Platon a Ă©galement considĂ©rĂ© que des matĂ©riaux comme l’or, le diamant et l’airain font partie de cet Ă©lĂ©ment. Il y a Ă©galement un icosaĂšdre trouvĂ© dans une tombe romaine Ă  AlĂ©ria en Corse qui peut ĂȘtre vu au musĂ©e d’AlĂ©ria.

Quelle est la gĂ©omĂ©trie de l’icosaĂšdre rĂ©gulier convexe ?

L’icosaĂšdre est un solide de dimension 3 appartenant Ă  la famille des polyĂšdres, et qui possĂšde exactement vingt faces. Il est considĂ©rĂ© comme Ă©tant rĂ©gulier convexe car toutes ses faces sont des polygones rĂ©guliers identiques et tous ses sommets ont le mĂȘme nombre d’arĂȘtes. Son symbole de SchlĂ€fli est {3,5}.

L’ensemble des sommets de cet icosaĂšdre reliĂ©s par ses arĂȘtes forme un graphe appelĂ© graphe icosaĂ©drique. Le groupe des rotations de l’icosaĂšdre, qui permet de permuter certaines faces tout en le laissant globalement inchangĂ©, comporte 60 Ă©lĂ©ments et est isomorphe au groupe alternĂ© A5. Il est en correspondance avec le dodĂ©caĂšdre rĂ©gulier qui a les mĂȘmes propriĂ©tĂ©s de rotations, et est considĂ©rĂ© comme son dual.

Un icosaĂšdre peut ĂȘtre construit en collant ensemble 20 triangles Ă©quilatĂ©raux de mĂȘme dimension. Le processus commence par fixer 5 triangles ensemble par leurs arĂȘtes, de maniĂšre Ă  crĂ©er une structure en forme de bol avec une pointe en bas. Ce bol est formĂ© d’un sommet partagĂ© par les 5 triangles, avec un bord en pentagone rĂ©gulier. On ajoute ensuite 5 triangles supplĂ©mentaires aux cĂŽtĂ©s du bol, chacun en se plaçant sur un segment diffĂ©rent, de sorte que le cĂŽtĂ© supĂ©rieur de chaque triangle du bol devienne Ă©galement le cĂŽtĂ© infĂ©rieur de l’un des triangles ajoutĂ©s. On redresse ensuite les 5 triangles supĂ©rieurs pour qu’ils soient droits, crĂ©ant ainsi une structure en forme de bol plus grande, composĂ©e de 10 triangles et avec une partie supĂ©rieure en forme de dents.

En utilisant 20 triangles Ă©quilatĂ©raux on peut construire deux formes identiques qui s’emboĂźtent parfaitement pour crĂ©er un polyĂšdre rĂ©gulier. Il est prĂ©sentĂ© sur une figure, oĂč le bol infĂ©rieur est de couleur bleue avec une calotte infĂ©rieure et cinq dents, dont trois sont visibles pour un observateur et deux cachĂ©es. Le bol supĂ©rieur, de couleur rouge sur la mĂȘme figure possĂšde la mĂȘme gĂ©omĂ©trie. Il suffit de placer la calotte en haut et 2 dents en face pour les emboĂźter ensemble.

Il est possible de construire un icosaĂšdre Ă  l’aide d’un patron spĂ©cifique. Pour ce faire, il suffit de coller les cĂŽtĂ©s libres des triangles jaunes et oranges ensemble, puis d’assembler les triangles rouges qui sont connectĂ©s Ă  eux, jusqu’Ă  ce que les sommets des triangles rouges se rejoignent en un seul point. Il existe de nombreux patrons diffĂ©rents pour construire un icosaĂšdre, au total 43 3803. Alexandre Grothendieck, lors de sa carriĂšre Ă  l’UniversitĂ© de Montpellier, a proposĂ© un examen de rĂ©flexion Ă  ses Ă©tudiants oĂč ils devaient construire un icosaĂšdre en papier et a attribuĂ© d’excellentes notes Ă  tous, ce qui a suscitĂ© la controverse parmi ses collĂšgues.

PropriĂ©tĂ©s de l’icosaĂšdre

Un icosaĂšdre est un polyĂšdre Ă  20 faces, 12 sommets, et 30 arĂȘtes. Il a 1 sommet en bas, et 5 sommets chacun sur la base infĂ©rieure et la base supĂ©rieure des dents qui sont dĂ©crits dans la premiĂšre construction. Chaque sommet de l’icosaĂšdre est reliĂ© Ă  5 arĂȘtes, donnant un total de 60 arĂȘtes, mais en raison de la relation de chaque arĂȘte avec 2 sommets, le nombre d’arĂȘtes est divisĂ© par 2 pour arriver au rĂ©sultat final de 30.

Un polyĂšdre possĂšde des segments les plus grands qui ont tous leurs deux extrĂ©mitĂ©s reliĂ©es aux sommets du polyĂšdre. Il y en a 6, et l’intersection de ces segments est un point appelĂ© le centre du polyĂšdre. Ce point est Ă©galement le centre de gravitĂ© du solide. Il existe Ă©galement 10 segments qui ont leurs deux extrĂ©mitĂ©s sur la surface du polyĂšdre, passant par le centre et ayant la longueur minimale. Les extrĂ©mitĂ©s de ces segments sont les centres de deux faces opposĂ©es qui sont parallĂšles entre elles.

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Ces remarques gĂ©omĂ©triques permettent de dĂ©finir les sphĂšres circonscrite et inscrite du solide. La sphĂšre circonscrite est celle qui a le plus petit rayon et contient l’intĂ©rieur du polyĂšdre, tandis que la sphĂšre inscrite est celle qui a le plus grand rayon et est contenue dans l’intĂ©rieur du solide, cela gĂ©nĂ©ralise les dĂ©finitions de cercle circonscrit et inscrit.

La figure 4 montre qu’un cube contient tous les Ă©lĂ©ments structurels d’un polyĂšdre rĂ©gulier. Chacune de ses faces comprend deux sommets et une arĂȘte du polyĂšdre, avec 6 faces totales, il contient Ă©galement les 12 sommets. La structure de ce polyĂšdre est rĂ©guliĂšre car toutes les arĂȘtes ont la mĂȘme longueur, les angles formĂ©s par deux arĂȘtes d’une mĂȘme face et partageant un mĂȘme sommet sont Ă©gaux Ă  60 degrĂ©s ou π/3 en radian. Il est aussi constante le nombre d’arĂȘtes qui partagent un mĂȘme sommet, quelque soit le sommet choisi. Il s’agit d’un polyĂšdre rĂ©gulier. Cela signifie qu’un segment ayant ses deux extrĂ©mitĂ©s Ă  l’intĂ©rieur du solide est intĂ©gralement Ă  l’intĂ©rieur de ce solide, rendant ainsi l’icosaĂšdre convexe. Il est Ă©galement remarquable qu’un Ă©lastique qui entoure le solide le touche en chaque point, c’est Ă©quivalent Ă  ce qui est mentionnĂ© prĂ©cĂ©demment. Il est important de noter que les polyĂšdres rĂ©guliers ne sont pas toujours convexes et les polyĂšdres rĂ©guliers convexes sont appelĂ©s solides de Platon.

SymĂ©trie de l’icosaĂšdre

Les isomĂ©tries affines laissent un polyĂšdre globalement inchangĂ© lorsque l’image du solide obtenue par l’isomĂ©trie occupe exactement la mĂȘme position que l’original. Les sommets, les arĂȘtes et les faces peuvent ĂȘtre permutĂ©s, mais la position globale reste la mĂȘme. Le dĂ©terminant d’une isomĂ©trie vaut soit 1 soit -1. Toutes les isomĂ©tries d’un polyĂšdre fixent son centre. Les isomĂ©tries dont le dĂ©terminant est Ă©gal Ă  1 (ou dĂ©placements), appelĂ©es les « symĂ©tries propres » du polyĂšdre, sont des rotations et celles dont le dĂ©terminant est Ă©gal Ă  -1, appelĂ©es les « symĂ©tries impropres » sont les composĂ©es d’une symĂ©trie propre (s’il en existe) et ces rotations.

L’axe d’une rotation d’un polyĂšdre doit passer par le centre du polyĂšdre et peut passer soit par un sommet, soit par le milieu d’une arĂȘte, soit par le milieu d’une face. Si on Ă©tudie les rotations d’angle non nul dont l’axe contient le centre d’une arĂȘte, une telle rotation Ă©change les deux sommets de l’arĂȘte, donc il s’agit d’un demi-tour. Sur la figure 5, les sommets de l’icosaĂšdre sont regroupĂ©s dans des plans perpendiculaires Ă  l’axe de rotation, mettant en Ă©vidence cinq ensembles : les deux extrĂȘmes qui sont composĂ©s de deux points formant les arĂȘtes qui dĂ©limitent le solide et qui croisent en leur milieu l’axe Ă©tudiĂ©, deux ensembles de deux points qui se trouvent sur deux droites perpendiculaires Ă  la fois aux segments bleus et Ă  l’axe de rotation, et enfin quatre points au milieu du polyĂšdre formant un rectangle. Ces cinq figures sont invariantes par une rotation d’un demi-tour, il existe donc une rotation d’un demi-tour pour chaque paire d’arĂȘtes opposĂ©es, pour un total de 15 rotations d’un demi-tour, comme il y a 30 arĂȘtes.

On peut regrouper les 15 demi-tours en groupes de trois en utilisant des rotations d’axes perpendiculaires qui commutent. La figure 6 montre une rotation dont l’axe passe par le centre de deux faces opposĂ©es. Cette rotation Ă©change les trois sommets de chaque face, donc c’est un tiers de tour. En utilisant la mĂȘme technique, on peut regrouper les sommets en quatre ensembles. Les deux ensembles extrĂȘmes sont des faces, qui sont des triangles Ă©quilatĂ©raux de mĂȘme taille, mais pivotĂ©s de demi-tour l’un par rapport Ă  l’autre. Les deux ensembles centraux, en violet sur la figure, sont aussi des triangles Ă©quilatĂ©raux, plus grands. Pour faire coĂŻncider deux triangles situĂ©s cĂŽte Ă  cĂŽte, il faut faire une rotation d’un demi-tour.

Il y a 20 rotations d’un tiers de tour, deux par paire de faces, dans le solide dĂ©crit. La figure 7 montre une rotation dont l’axe passe par deux sommets opposĂ©s. Cette rotation Ă©change les cinq arĂȘtes passant par chaque sommet, donc c’est un multiple d’un cinquiĂšme de tour. En utilisant la mĂȘme technique, les sommets peuvent ĂȘtre regroupĂ©s en quatre ensembles. Les deux ensembles extrĂȘmes sont des points uniques, et les deux ensembles les plus proches du centre forment chacun un pentagone rĂ©gulier. Les deux pentagones sont de mĂȘme taille mais sont dĂ©calĂ©s d’un demi-tour. Il existe 4 rotations d’axes passant par deux sommets qui laissent globalement le solide inchangĂ©, en ignorant la rotation d’angle nul. Il y a 12 sommets et 6 axes contenant deux sommets opposĂ©s, donc il existe 24 rotations de cette nature.

Les illustrations prĂ©cĂ©dentes ont montrĂ© que la symĂ©trie centrale laisse le solide globalement inchangĂ©. En outre, toute roto-inversion d’angle α (une rotation d’angle α suivie d’une symĂ©trie de centre un point de l’axe) est Ă©quivalente Ă  une antirotation d’angle α + π (une rotation d’angle α + π suivie d’une rĂ©flexion par rapport Ă  un plan perpendiculaire Ă  l’axe). Cela signifie qu’une roto-inversion avec un angle α = π est Ă©quivalent Ă  une rĂ©flexion.

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Quelles sont les figures remarquables de l’icosaùdre ?

Les symĂ©tries d’ordre 3 et 5 introduisent des figures gĂ©omĂ©triques planes liĂ©es Ă  ces symĂ©tries. Lorsqu’on parle de symĂ©trie plane d’ordre 3, cela fait rĂ©fĂ©rence au groupe de symĂ©trie formĂ© par le triangle Ă©quilatĂ©ral. Ces symĂ©tries peuvent ĂȘtre observĂ©es dans l’icosaĂšdre en construisant des triangles Ă©quilatĂ©raux avec les diffĂ©rents sommets du solide. Chaque axe qui traverse le centre de deux faces opposĂ©es contient 4 de ces triangles Ă©quilatĂ©raux, dont 2 qui forment des faces, et les 2 autres ont un cĂŽtĂ© proportionnel Ă  l’extrĂȘme et moyenne raison par rapport Ă  une arĂȘte du polyĂšdre. Il y a 12 petits triangles Ă©quilatĂ©raux et autant de grands pour chaque paire de faces.

Le nombre d’or est liĂ© Ă  une rotation d’ordre 5 et Ă  la proportion des dimensions d’un pentagone. Pour chaque axe reliant deux sommets opposĂ©s, on peut observer deux pentagones dont les plans sont orthogonaux Ă  l’axe. Chacun des sommets du pentagone est Ă©galement un sommet de deux triangles d’or de gĂ©omĂ©tries diffĂ©rentes. Les triangles d’or sont isocĂšles et ont des cĂŽtĂ©s en proportion d’extrĂȘme et de moyenne raison. Il existe deux types de triangles d’or : ceux ayant deux grands cĂŽtĂ©s (gris sur la figure 8) et ceux ayant deux petits cĂŽtĂ©s (jaunes). Les sommets de chaque pentagone sont adjacents Ă  deux cĂŽtĂ©s Ă©gaux d’un triangle d’or de chaque type. Il y a 2 pentagones, soit 10 sommets et 20 triangles d’or. Il existe 6 axes diffĂ©rents passant par deux sommets opposĂ©s, pour un total de 120 triangles d’or.

On peut Ă©galement trouver des rectangles d’or, c’est-Ă -dire des rectangles dont les longueurs et les largeurs ont un rapport Ă©gal au nombre d’or. Il y a exactement 1 rectangle d’or par cĂŽtĂ© du pentagone, avec un second cĂŽtĂ© se trouvant sur l’autre pentagone. On peut voir un exemple en vert sur la figure 8. Il existe 5 paires d’arĂȘtes de cette nature pour chaque couple de pentagones, ce qui donne un total de 30 rectangles d’or.

Qu’est-ce qu’un polyùdre dual ?

Il est possible de construire un nouveau polyĂšdre en utilisant comme sommets les centres des faces d’un polyĂšdre rĂ©gulier initial. Ce nouveau polyĂšdre est appelĂ© le dual du polyĂšdre initial, et il est Ă©galement un solide de Platon. Par exemple, si on prend un icosaĂšdre, le dual en possĂšde 20 sommets et chaque face est un pentagone rĂ©gulier car chaque sommet est partagĂ© par 5 arĂȘtes, crĂ©ant ainsi un dodĂ©caĂšdre rĂ©gulier convexe. Inversement, le dual d’un dodĂ©caĂšdre est un polyĂšdre rĂ©gulier convexe Ă  12 sommets, avec des faces en triangles Ă©quilatĂ©raux, qui est reconnu comme Ă©tant l’icosaĂšdre. Cette propriĂ©tĂ© est valable pour tous les polyĂšdres, car le dual du dual d’un polyĂšdre est une homothĂ©tie du solide initial.

Il est Ă  noter que les symĂ©tries qui laissent globalement inchangĂ© un icosaĂšdre, laissent Ă©galement inchangĂ© l’ensemble des milieux des faces de celui-ci, ce qui entraĂźne que toute symĂ©trie de l’icosaĂšdre est aussi une symĂ©trie du dodĂ©caĂšdre. De mĂȘme, toute symĂ©trie du dodĂ©caĂšdre est aussi une symĂ©trie de l’icosaĂšdre. Les deux ensembles d’isomĂ©tries, associĂ©s aux deux polyĂšdres duals sont donc identiques, ici le terme de symĂ©trie est utilisĂ© pour dĂ©crire une isomĂ©trie.

Symboles et bienfaits de l’icosaùdre

L’icosaĂšdre est le 5eme solide de Platon : il contient 12 sommets, 30 arĂȘtes et 20 faces en triangles Ă©quilatĂ©raux parfaitement identiques. Ce 3e solide est associĂ© Ă  l’élĂ©ment de l’eau et au chakra Svadhisthana ou chakra sacrĂ© situĂ© Ă  3 doigts en dessous du nombril. Sa puissante Ă©nergĂ©tique permet d’apaiser les dĂ©mons intĂ©rieurs et de favoriser la clartĂ© d’esprit. 

L’icosaĂšdre est le siĂšge de la stabilitĂ©, de la gestion Ă©motionnelle et de la conscience sociale. Cette figure de Platon est aussi liĂ©e Ă  la sexualitĂ©, au plaisir et Ă  la joie de vivre. 

L’icosaĂšdre est rattachĂ© Ă  la couleur orange et les pierres prĂ©cieuses et naturelles comme la calcite orange, l’ambre, l’opale de feu, la pierre du soleil ou la cornaline.

Cette figure détient des propriétés tranquillisantes. Elle apaise les peurs, les doutes et lÚve les séquelles de traumatismes anciens. Elle améliore la faculté de mémorisation et de communication.

il reprĂ©sente l’élĂ©ment Eau et travaille sur le 5ᔉ chakra. Il a 12 sommets et 30 arĂȘtes et possĂšde 20 faces qui sont des triangles Ă©quilatĂ©raux.

À l’image de l’eau en mouvement, il permet de dĂ©bloquer des situations en travaillant sur les Ă©motions. Il invite Ă  la joie et permet aux Ă©nergies de circuler librement dans le corps.

Son onde de forme est une sorte d’antenne Ă©mettrice et rĂ©ceptrice qui permet de mieux transmettre les informations, amplifie les Ă©nergies subtiles et offre un accĂšs plus facile Ă  notre subconscient et Ă  nos capacitĂ©s de tĂ©lĂ©pathie.

PlacĂ© dans une maison, il simplifie les relations entre les habitants et amĂ©liore l’harmonie familiale.

Il est idĂ©al en cas d’instabilitĂ© Ă©motionnelle, de grande Ă©motivitĂ©, de timiditĂ©, de troubles sexuels, de mĂ©moire en lien avec la sexualitĂ©, de troubles de l’appĂ©tit, de peurs irrationnelles, de traumatismes passĂ©s.


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